Ce long métrage documentaire, haut en couleur, révèle les multiples facettes du jazz de la Nouvelle-Orléans. À travers ses danseurs et ses musiciens de rues, ses fêtes et ses traditions, découvrez cette ville, vivant au son de courants musicaux qui sont encore aujourd'hui l'expression des valeurs et de l'identité du peuple noir.
Documentaire sur le bar des étudiants de l'Université de Moncton au Nouveau-Brunswick. Témoin des revendications politiques et sociales de la fin des années soixante, puis de l'explosion culturelle qui a suivi, le Kacho est fermé depuis 1996. Dans ce délirant happening composé de séquences d'archives et de tournage récent, Marie-Jo Thério et le band Les Païens se déchaînent, marient poèmes et musique.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Ce long métrage documentaire fouille les complexités de la notion de propriété intellectuelle à l’ère du partage de fichiers pair-à-pair. Le cinéaste militant du Web Brett Gaylor interroge des acteurs importants du débat, dont le roi des collages musicaux de Pittsburgh, Girl Talk. Création de « remixage » en soi, RiP fracasse les barrières entre utilisateurs et producteurs et conteste les limites de « l’utilisation équitable ».
Animation de génie signée Norman McLaren et Evelyn Lambart. Le trio Oscar Peterson interprète quelques pièces de son répertoire, alors que les cinéastes transcrivent ces sons avec, comme seuls guides, leur talent et leur libre imagination. Titres inscrits en plusieurs langues, sans commentaire. Animation sans paroles.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Dessin animé, pure fantaisie humoristique et amusante qui répond aux seules règles du bon goût. On ne peut voir musiciens plus avertis que ce quatuor de chats qui exécute, avec force glissando, inflexion, attaque et vibrato, une musique de jazz syncopé. L'animation au service de la musique !
Mélangeant séquences animées et extraits d’archives, Oscar est un portrait touchant du pianiste virtuose Oscar Peterson. Des débuts du jeune prodige de la Petite-Bourgogne à ses triomphes sur la scène internationale, ce documentaire de Marie-Josée Saint-Pierre aborde la profonde solitude de l’artiste constamment en tournée. Au son de sa musique tantôt entraînante, tantôt teintée de mélancolie, le film raconte avec émotion une vie dans le jazz.
Court métrage documentaire à propos de la DJ Rhiannon, une DJ de la scène EDM (Electronic Dance Music) qui connaît un succès important après avoir posé pour Playboy. Le film de Katherine Monk se demande : faut-il exhiber une image hypersexualisée dans ce milieu pour réussir quand on est une femme?
Un film d'animation, dans lequel le «boogie» exécuté par Albert Ammons et le «doodle», ou griffonnage, dessiné par Norman McLaren, s'unissent pour constituer un tourbillon de rythmes et de couleurs.
Socalled, le film est un portrait kaléidoscopique dynamique. Rythmé par le modus operandi de Socalled, le documentaire propose un échantillonnage de son travail, soit dix-huit courts métrages finement montés qui illustrent son incessante démarche créatrice.
Comment un Québécois pure laine a-t-il pu devenir un romancier américain célèbre et le cow-boy le plus authentique de Hollywood? En fabulant! Alias Will James raconte l'histoire invraisemblable d'Ernest Dufault qui, avec la complicité tacite de sa famille, a réussi à séduire (et tromper) pendant trente ans la royauté européenne et la société américaine. Voleur de chevaux, vagabond, artiste et écrivain, Will James est encore aujourd'hui, dans le Far West américain, un personnage mythique.
Le 32e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Chef-d’œuvre d’animation mettant en vedette Paul Cormier, alias Monsieur Pointu, un sympathique violoniste tentant d’apprivoiser en vain son instrument. Ce dernier entraîne à sa suite les objets les plus divers dans une étourdissante ronde pour embêter notre « violoneux ». Le virtuose prendra rapidement goût au jeu et embarquera dans la danse. Film sans paroles sélectionné aux Oscars en 1975.
À l'été 1987, durant le Festival international de jazz de Montréal, l'allure empreinte de retenue du pianiste soviétique Leonid Chizhik côtoie la véhémence spontanée et chaleureuse d'Oliver Jones et l'écriture saccadée de Jean Beaudet. En toile de fond, le jazz scandale, censuré à la fois par les commissaires soviétiques et les évêques catholiques, sa sophistication, puis finalement l'appropriation de son coeur et de son rythme par différentes cultures.