Un court métrage d'animation inspiré par La légende du canot d'écorce, mieux connue sous le nom de La chasse-galerie. Publié pour la première fois en 1891 par Honoré Beaugrand, ce conte folklorique raconte l'histoire de bûcherons qui, partis travailler dans un camp isolé dans la vallée de la rivière Gatineau pour l'hiver, concluent un pacte avec le diable pour pouvoir passer la veille du jour de l'An auprès de leurs parents et amis.
Maq et l’Esprit de la forêt est un court métrage d’animation racontant l’histoire d’un jeune Micmac qui se fait apprendre les secrets de la vie par de discrets mentors. En traversant la forêt pour aller chez son grand-père et lui montrer un morceau de pierre qu’un Ancien lui a montré à sculpter, il croise un curieux voyageur nommé Mi’gmwesu. Celui-ci lui fait découvrir sa culture à travers les chansons, les contes et les plantes médicinales…
Le 34e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Tiré d'une nouvelle de Mordecai Richler, ce film d'animation raconte le drame vécu par les familles où l'un des membres est devenu impotent. Les magnifiques dessins de la cinéaste marient magistralement sobriété et souci du détail pour insuffler vie aux personnages.
Court métrage d’animation mettant en scène un hibou et un corbeau. Dans un igloo construit selon les normes en usage chez les Inuit, un hibou et un corbeau tracent, avec de petits os de phoque, le contour d'un igloo miniature, puis passent à un autre divertissement qui consiste à se peindre le plumage avec de la suie jusqu'à ce que le hibou perde patience... Les marionnettes et les décors ont été fabriqués selon des dessins ou des modèles authentiques. La bande sonore, où alternent conversation et chants inuits, crée l'ambiance nécessaire au déroulement de la légende.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Dans ce court métrage d’animation, Moustafa entreprend un long périple dans le désert. Dans son chariot se cache un mystérieux objet qui semble être au centre de sa quête. Un objet assez précieux pour le convaincre d'affronter tous les dangers, sécheresse et fantômes inclus! Un conte classique qui mêle intrigue et humour. Film sans paroles.
Film d'animation, basé sur une légende inuit populaire, et réalisé selon les règles d'une technique qui s'apparente à celle du théâtre de marionnettes. Les décors et les chants exécutés par des artistes inuit confèrent une indéniable authenticité à ce film et contribuent à recréer l'atmosphère d'un folklore en voie de disparition.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Court métrage d’animation racontant l’histoire de Meena. Son nom signifie « poisson » en sanskrit, n'aime pas lire. En fait, elle déteste tout ce qui se rapporte aux livres et à la lecture. Cela inquiète ses parents qui, eux, aiment bien les livres. Ou plutôt ils les adorent au point d'en lire trois à la fois. Un jour, en cherchant Max, son chaton, Meena pénètrera dans l'univers magique des livres, une découverte qui changera toute sa vie. D'après le livre de Manjusha Pawagi. De la collection Les petits conteurs 2.
Ce court métrage d'animation ressuscite l'époque des années 1940, où tous les jeunes étaient subjugués par leur idole, Maurice Richard. L'écrivain Roch Carrier n'y échappa point et il nous livre ici, avec humour et nostalgie, les impressions et les sentiments d'une enfance empreinte des modèles du temps.
Réalisé à l’écran d’épingles par Jacques Drouin, ce court métrage d'animation est inspiré d'un conte du romancier Jacques Godbout. Nous sommes en pleine saison de chasse : le jeune Antoine est fasciné par son voisin, un mystérieux personnage réputé grand chasseur. Il réussira à convaincre son nouvel ami de l'initier aux secrets de la chasse. En pleine forêt, une grande surprise les attend tous les deux…
À la fin du XIXe siècle, Silas Rand et Charles Leland ont transcrit les légendes entourant le géant mythique, Glooscap. On présente ici une interprétation animée de «La Légende de Glooscap», qui raconte comment cet habitant des forêts, vénéré par les Amérindiens, a vaincu le géant hiver afin de permettre à l'été de s'installer dans le Nord.
Tiré de la riche culture mythologique du Nord canadien, ce court métrage de fiction mélange des scènes réelles et des séquences d'animation pour raconter l'histoire d'un chasseur qui fuit la femme d'un géant qu'il vient de tuer. Son imagination et sa ruse lui permettent de se sortir à bon compte d'une certaine situation. Des chants de gorge accompagnent ce film sans paroles.
Ce film fait partie du projet Unikkausivut. Procurez-vous le coffret DVD Unikkausivut : Transmettre nos histoires.
Nous tenons à préciser que le présent film constitue un document d’archives et qu’on y utilise le terme « Esquimau », désuet et offensant. L’origine du mot prête à controverse, mais celui-ci n’est plus en usage au Canada : le Conseil circumpolaire inuit l’a officiellement rejeté en 1980 et l’ONF ne l’utilise plus depuis des décennies. Il y a donc lieu de considérer ce film, présenté ici en version originale, comme une capsule témoin d’une époque révolue. L’ONF s’excuse auprès des spectatrices et des spectateurs que l’utilisation de ce mot pourrait offusquer.
Animation dessinée à l'encre de Chine, mettant en scène un conte de Perrault dans l'univers disjoncté et ludique de Claude Cloutier. Le film raconte l'histoire d'une princesse victime d'une violente crise de narcolepsie et clouée au lit. Le roi mobilise ses sujets pour réveiller la Belle, et tous répondent à l'appel. Mais suffit-il vraiment d'un baiser pour réveiller une princesse?
Âge 12 à 17 ans
Français, langue maternelle - Histoires pour enfants/Fables
Éthique et culture religieuse - Diversité/Héritage religieux
Éthique et culture religieuse - Valeurs morales
Comme amorce, faire une séance de remue-méninges sur les légendes. Échanger avec la classe sur les dangers de « conclure un pacte avec le diable ». Comment ce genre d’histoire histoire se conclut-il habituellement? Après le visionnage, discuter des conditions imposées aux personnages du film et de leurs graves conséquences. Inciter les élèves à faire ressortir clairement les leçons de vie à tirer de ce film.