Un jour, un jeune homme trouve devant sa porte une petite plante verte. Il la cueille et la transporte à l'intérieur. Sitôt soignée et dorlotée, la plante se met à croître joyeusement. Tout d'abord séduit, le jeune homme se laisse prendre au charme, mais viendra le moment où la plante folichonne abusera de ses pouvoirs... Composé de tournage réel et d'animation, ce film évoque avec humour et fantaisie l'existence de ces êtres au coeur tendre et obligeant que les événements rendent parfois victimes de leur propre générosité. Film sans paroles.
Court métrage d’animation fait en pixillation. Le film raconte l'histoire amusante d'une tentative de séduction qui sort assurément de l’ordinaire.
Court métrage d'animation le plus célèbre de Norman McLaren pour lequel il remporte un Oscar®. Le film raconte l'histoire de deux voisins vivant dans l'amitié et le respect jusqu'à ce qu'une fleur pousse à la ligne mitoyenne de leurs propriétés. S'ensuit une querelle qui mènera les deux voisins au tombeau.
Dans ce court métrage de fiction réalisé par Raymond Brousseau, un homme ordinaire se réveille dans un monde à l’envers! Journal illisible, les gens qui marchent à reculons, les voitures qui reculent : plus rien n’est pareil, mais tout semble bien aller.
Ce court métrage de fiction raconte l’histoire d’un chauffeur qui attend patiemment l’arrivée de son patron, un gros bonnet de la finance, lors d’une chaude journée d’été. Assis au volant de la Rolls-Royce de service, il se met à rêver. Soudainement, c’est l’hiver et la voiture se transforme en toboggan. Faisant appel à la pixillation, ce film évolue à la vitesse de l'imagination et de la fantaisie, sur une musique enlevante des années 1920.
Le noeud cravate allie à merveille animation de marionnettes et dessin animé. Le film raconte quinze ans de la vie de Valentin. Employé dévoué à sa tâche, leurré par des patrons imbus de pouvoir, Valentin lutte contre l'absurdité avec toute la force de ses espérances.
Court métrage documentaire racontant l’extravagante aventure d'un jongleur. Alors qu’il tente d’impressionner des enfants par la beauté de son jeu, il perd une de ses balles, la jaune. S’en suit une course à la recherche de celle-ci à travers la ville. Réussira-t-il à la retrouver? Étonnant de fraîcheur et de spontanéité, ce film parcourt un monde merveilleux empreint de couleur et de fantaisie.
Court métrage d’animation offrant un vibrant réquisitoire contre la guerre. Des enfants admirent gaiement une vitrine d’un magasin de jouets. Barbie et Ken s’y retrouvent aux côté d’un lion, d’un perroquet, d’un singe, d’une vache qui fait meuh et de clowns rigolos. Leurs regards se tournent soudainement vers des avions à hélices et des petits soldats de l’armée. Tout à coup, les personnages s’animent et se livrent au combat. La scène d’horreur fait disparaître les sourires des jeunes, stupéfaits par la violence qui s’offre à eux. Des explosions et des coups de mitraillette surgissent de tous bords, tous côtés. Plusieurs soldats tombent au combat. Film sans paroles.
Animation dessinée à l'encre de Chine, mettant en scène un conte de Perrault dans l'univers disjoncté et ludique de Claude Cloutier. Le film raconte l'histoire d'une princesse victime d'une violente crise de narcolepsie et clouée au lit. Le roi mobilise ses sujets pour réveiller la Belle, et tous répondent à l'appel. Mais suffit-il vraiment d'un baiser pour réveiller une princesse?
Animation mêlant habilement fiction et réalité, le film nous livre un récit fantaisiste, dénonçant le pouvoir de la publicité télévisuelle. Gagnant d’une dizaine de prix internationaux.
Ce court métrage rassemble une série de films promotionnels produits en 1959-1960 pour les services d’informations de la Société Radio-Canada, l’Office national du film du Canada et le ministère du Travail. Chaque sujet est accompagné d’un slogan et la plupart sont traités de façon humoristique.
Film d'animation mettant en image une fable philosophique, qui engendre une réflexion sur l'homme, le pouvoir et le monde. «E» égale «E», rien n'est plus simple, direz-vous? Eh, bien non! En vérité, «E» ne sera jamais «E» si en décident autrement le tyran et sa police.