Celui qui aimait l'eau, c'est Roland Papatie de Kitcisakik, mort noyé dans les eaux tumultueuses du barrage Dozois en Abitibi. Un film hommage au frère et à l'ami disparu.
Depuis 2004, le Wapikoni mobile donne aux jeunes des Premières nations du Québec l'occasion de s'exprimer par le biais de réalisations vidéo et musicales. Cet essai a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du DVD - Sélection 2008 - Wapikoni mobile.
Agressée violemment par son ex-ami et un de ses copains, elle aurait pu s'écraser et vivre dans la peur, mais sa passion pour la boxe lui a insufflé la détermination de s'en sortir et de survivre. Elle a le potentiel pour devenir une championne et prouver à ses ennemis qu'elle est plus forte que le mal qu'ils lui ont fait, plus forte qu'eux. L'histoire d'une battante, une jeune Mohawk de Kanesatake qui a sa place au palmarès des boxeurs.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l'occasion de s'exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Dans son premier long métrage documentaire, sorti en 1977, Alanis Obomsawin rend hommage à la place centrale des femmes et des mères dans les cultures amérindiennes. Album de témoignages féminins autochtones, le film dépeint ces cultures matriarcales fortes, auxquelles on a tenté d'imposer pendant des siècles des habitudes et coutumes étrangères. Suivant le cycle de la vie des femmes autochtones de la naissance à la vieillesse en passant par l'enfance, la puberté, l'âge adulte et la maturité, il montre comment ces femmes se sont battues pour retrouver un sentiment d'égalité, inculquer la fierté de leur culture à leurs enfants et transmettre leurs histoires aux nouvelles générations.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
Ce court métrage de fiction raconte l'histoire d'une relation homosexuelle tumultueuse, envahissante et dévastatrice. Quand l’une se suicide, l’autre reste aux prises avec le questionnement, la honte, le cauchemar. Peur de l’appel du vide, peur du monde, peur de poser le même geste fatal. Une détresse palpable, un monologue intérieur bouleversant. Cette œuvre poétique a été tournée chez les Atikamekws dans la communauté de Manawan.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l’occasion de s’exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce film a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du coffret DVD - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.
Inspiré d'un fait réel, ce court métrage de fiction fait la reconstruction dramatique d’un événement survenu dans un autobus alors que trois jeunes gens batailleurs tiennent des propos racistes à l'endroit d'une jeune Amérindienne et de sa mère, Rhonda. Celle-ci décide de réagir, le lendemain, lorsqu'elle constate à quel point sa fille se sent humiliée. Elle se rend à l'école et fait réaliser aux agresseurs la portée destructrice de leur geste en apparence anodin.
Long métrage documentaire de la réputée réalisatrice métisse Christine Welsh, levant le voile sur la triste expérience des femmes autochtones au Canada et mettant des visages sur cette tragédie nationale. Dawn Crey, Ramona Wilson et Daleen Kay Bosse ne sont que 3 des quelque 500 femmes autochtones portées disparues ou assassinées au Canada au cours des 30 dernières années.
Kahentiiosta était à Kanehsatake, du début à la fin de la crise. Le film décrit ce qu'elle y a vécu, puis surtout sa comparution au tribunal parce que le Procureur général n'acceptait pas son nom mohawk et enfin sa vie et celle d'autres «warriors» au camp militaire de Farnham.
Le court métrage Nimmikaage (Elle danse pour son peuple) de Michelle Latimer est un requiem pour les femmes autochtones du Canada. Le film déconstruit couche par couche l’affectation attestée du nationalisme canadien.
Long métrage de fiction réalisé par Derek Mazur mettant en vedette Rose l’Espérance, une Métisse vivant dans l’Ouest Canadien et qui souhaite donner une meilleure vie à sa famille, et son espoir se personnifie surtout par sa fille Flora.
Ce long métrage documentaire suit le Wapikoni mobile, un studio ambulant de création audiovisuelle et musicale qui « roule » vers les jeunes des communautés autochtones. Le périple annuel du Wapikoni mobile le conduit sur plus de 20 000 kilomètres. Pour sa 5e année d’existence, il s’arrête à Kitcisakik, en Abitibi-Témiscamingue. L'aventure Wapikoni nous permettra de découvrir, de l'intérieur, un monde ignoré. Une rencontre exceptionnelle entre une équipe de jeunes cinéastes blancs et de talentueux créateurs autochtones.
Ce court métrage documentaire nous amène au coeur d'un véritable pow-wow traditionnel. En suivant le parcours de Tony Chachai, jeune Autochtone en quête d’identité, la cinéaste originaire de Manawan se penche sur la culture, le passé et la transmission du savoir et des connaissances au sein des membres d’une communauté atikamekw. Mu par le désir de renouer avec sa famille et ses racines, Tony Chachai livre un témoignage touchant sur le chemin qui l’a ramené auprès des siens. À l’aube de devenir père, il prend conscience de la richesse de cet héritage et célèbre ce passé en dansant dans un pow-wow aux côtés de son cousin Ronny Chachai.
Ce film a été réalisé par Thérèse Ottawa, cinéaste à l'occasion du concours Tremplin NIKANIK, destiné aux cinéastes francophones des Premières Nations du Québec.
Dans ce court métrage de la bédéiste et cinéaste d’animation québécoise Diane Obomsawin (alias Obom), Charlotte, Mathilde, Marie et Diane racontent avec franchise et candeur leurs premières histoires d’amour. Du coup de foudre à sens unique à l’attirance mutuelle, pour chacune d’entre elles, le moment de l’éveil sexuel a rejoint une prise de conscience identitaire : la découverte du désir homosexuel!
Vous aimez ce film? Affichez vos couleurs en vous procurant l'un de ces articles à son effigie!