This documentary takes an in-depth look at the witch hunts that swept Europe just a few hundred years ago. False accusations and trials led to massive torture and burnings at the stake and ultimately to the destruction of an organic way of life. The film questions whether the widespread violence against women and the neglect of our environment today can be traced back to those times. Part two of a series of three films on women and spirituality, which includes Goddess Remembered and Full Circle.
Long métrage documentaire rendant hommage… aux sorcières. Celles d'hier, contre qui l'Église et l'État se sont acharnés, d'un commun accord; celles d'aujourd'hui, qui professent un retour à la connaissance de la déesse primitive, harmonie pacifique de toutes les formes de vie. Faisant suite à Sur les traces de la déesse, ce film constitue le deuxième volet d’une réflexion sur la spiritualité des femmes.
Ce long métrage documentaire, qui donne la parole à des féministes érudites et militantes, est aussi un hommage aux géniteurs des civilisations occidentales pour qui le culte de la déesse semble avoir été au centre du système de valeurs modelant leur vie quotidienne. Par-delà 35 000 ans d'histoire, ces valeurs ont aujourd'hui une résonance particulière, car elles sont perçues par plusieurs comme seules garantes de notre survivance collective. Le film Le temps des bûchers constitue le deuxième volet de cette réflexion sur la spiritualité des femmes.
Court métrage d’animation sur une femme qui porte la guerre en elle. Dans sa tête les soldats avancent, piétinant tout sur leur passage. Telle une pietà, elle pleure son fils, son frère. De sa douleur et du sang de l'homme mort au combat surgit une armée de femmes, puissante colonne drapée dans la foi et la révolte. La soif de justice devient soif de vengeance. Le corps de la femme est une arme, sa robe une armure. Celle qui jadis donnait la vie donnera la mort. Film sans paroles.
Documentaire explorant les métiers féminins au Québec. Le film situe des personnages tels que l'Indienne, la fille du Roy, la religieuse, la Corriveau, la femme de colon et de soldat, tandis qu'il montre chez la femme actuelle, travailleuse et mère de famille, l'exploitation de ses qualités traditionnelles et sa dégradation jusqu'à la femme-objet.
Documentaire sur l'école Polytechnique de Montréal, un an après la tragédie qui a coûté la vie à 14 étudiantes en 1989. Nathalie Provost, une survivante de la fusillade, d'autres aussi, parlent du drame et du féminisme, du racisme et du sexisme, des difficultés de la société à accepter les différences. Et surtout de la vie qui continue au-delà du 6 décembre.
Documentaire sur la vie et l'œuvre du chanoine Lionel Groulx, prêtre, écrivain et historien canadien-français. La première partie du film nous transporte sur les lieux de son enfance, à Vaudreuil, pour nous faire découvrir le Séminaire Sainte-Thérèse, où il a fait ses études. L'historien nous rappellera l'atmosphère trouble des années 1930, les combats parapolitiques auxquels il a été mêlé. La dernière partie nous livrera ses confidences.
Un trésor d'images d'archives ressuscite le premier collège classique du Canada français, le Séminaire de Québec, donnant en même temps un aperçu de la vie sociale de l'époque.
Dans ce court métrage documentaire, le cinéaste inuit Jobie Weetaluktuk documente les rituels complexes qui marquent l’arrivée au monde de son neveu en racontant l’histoire attendrissante d’une jeune femme et d’une naissance imprévue. Le petit garçon sera appelé Timuti, un prénom familier au sein de la communauté d’Inukjuak, qui établit la filiation entre ses membres.
Ce premier volet d'une série documentaire historique trace le portrait nuancé de religieuses. Tourné au Québec, en France et à Haïti, le film puise sa richesse dans l'authenticité des témoignages, la rigueur de la recherche historique, la variété des documents d'archives inédits et la beauté des scènes de reconstitution. Jean-Claude Labrecque signe les images sur une musique de Louise Courville et une narration de Mario Tifo.
Une dramatisation inspirée des Relations des Jésuites. En 1638, dans le pays des Hurons, des missionnaires sont menacés d'une condamnation à mort et pendant la nuit, le plus jeune d'entre eux s'interrogera avec angoisse sur sa vocation et son action.
Il est à noter que le film Le festin des morts a été produit en 1965 et qu’il reflète les attitudes et la pensée de son époque. Certaines séquences pourraient sembler offensantes au public actuel, mais le film doit être vu comme un produit culturel de l’époque dont il est issu. La perspective de la population canadienne et celle de l’ONF ont évolué : depuis la création du film, nous avons pris conscience des droits, des réalités et des points de vue des peuples autochtones. En ajoutant sans cesse à sa riche collection de films réalisés par des Autochtones et mise à la disposition du public au Cinéma autochtone, l’ONF continue de s’employer à combattre les stéréotypes visant les Autochtones et à dépeindre avec exactitude la diversité des expériences que vivent leurs communautés.
Documentaire fascinant traçant le portrait de Marie de l'Incarnation. Nous suivons celle qui quitte la France après avoir abandonné son fils pour devenir bâtisseuse et missionnaire en Canada au milieu du 17e siècle. Véritable thriller spirituel, le film accompagne la comédienne Marie Tifo à la recherche de ce personnage hors du commun.
Âge 17 à 17 ans
Histoire et éducation à la citoyenneté - Culture et mouvements de pensée (1500 à nos jours)
Sciences humaines - Histoire sociale
Ce moyen métrage pourrait être utilisé dans un cours d’histoire puisqu’il traite de la condition féminine à travers le temps. Il constitue un excellent catalyseur de discussions. L’enseignant ou l’enseignante pourrait inviter les élèves à réfléchir sur une des questions suivantes : Peut-on faire des rapprochements entre les événements du passé relatés dans ce film et certains événements contemporains? La femme fait-elle peur aux institutions en place? Si oui, pourquoi?