In this short documentary, burn victims get to enjoy a family day at the beach thanks to an outing organized by the Association des grands brûlés. Enduring the curious stares of strangers isn't easy, but the desire to lead a full life, especially on such a beautiful summer day, is simply too strong. By sharing the inspiring stories of these men and women, Jeremy Peter Allen's At the Beach invites us to embrace our differences.
This film is part of the The first edition. of the 5 Shorts Project, created by the National Film Board of Canada and produced in conjunction with Spirafilm, a Quebec cooperative dedicated to independent cinema.
The second edition can be found here.
The third edition can be found here.
Ce court métrage documentaire suit des grands brûlés dans une expérience qui leur demandera beaucoup de courage. Leur corps a souffert. Il en porte les traces pour toujours. Mais à la faveur d’une activité organisée par l’Association des grands brûlés, des femmes et des hommes profitent des plaisirs de la plage en famille à Lac-Mégantic. Pas facile de braver le regard des autres, mais le désir de retrouver une pleine autonomie est aujourd’hui le plus fort, surtout quand le soleil est de la partie. À la plage recueille leurs témoignages dans la douceur de l'été.
Ce film fait partie de la première édition du Projet 5 courts mis sur pied par l’ONF et produit avec Spirafilm, une coopérative de Québec vouée au cinéma indépendant. Cette initiative rassemble une collection de courts métrages documentaires entièrement tourné en numérique (4K).
Ce court métrage d’animation raconte l'histoire d'une jeune femme au visage disgracieux qui écrit des romans à succès, au loin, sur une île... Pendant ce temps, sa sœur Marie, son unique compagne, veille à leurs besoins quotidiens. Un beau jour, elles reçoivent la visite d'un étranger qui vient rompre l'harmonie de leur solitude à deux... Sur le ton de la nouvelle, cette saisissante étude de caractère nous transporte dans un univers trouble où la dépendance prend plusieurs visages. Réalisé par mode de gravure sur pellicule 70 mm teintée, puis tourné au banc-titre.
Dans une société qui met tout dans des cases et qui nous divise dans des catégories bien définies, où se situe une personne avec un esprit fort et un corps affaibli? En suivant Heidi Janz dans sa vie quotidienne, avec sa série unique de responsabilités, d’occasions et de défis, Nous avons le regret de nous informer... pose un regard sans pathos et sans complexe sur ce que ça signifie d’être à la fois « handicapé » et « productif ».
Un tournoi de hockey sur luge oppose pendant une fin de semaine des équipes de jeunes Américains et Canadiens. Destiné aux joueurs ayant des difficultés physiques, ce sport suit les mêmes règles que le hockey traditionnel : passer la rondelle, tirer au but, railler les adversaires. Le réalisateur Sam Vint filme l’action de bout en bout tandis que les Sledgehammers du Manitoba se donnent à fond.
Ce long métrage documentaire met en scène de jeunes artistes sourds qui, après avoir passé une enfance inconfortable dans la zone grise entre les cultures orale et sourde, sont entrés dans l’âge adulte en proclamant leur identité sourde. Ce film démontre comment ils contribuent à bâtir et à faire rayonner la culture sourde, par la voie des arts.
Court métrage de pâte à modeler sur table lumineuse, qui donne vie avec beaucoup de sensibilité aux diverses émotions qui tissent le quotidien de John et Michael. Le film transcende nos idées préconçues sur la déficience, la sexualité et la mort. Dans ce récit fortement touchant, les différences s'évanouissent. L'amour n'est-il pas le propre de la condition humaine!
Ils semblent être des gens ordinaires. Ils n'ont aucun handicap physique et semblent aussi fonctionnels que n'importe qui d'autre. Mais leur vie a été assombrie par les effets paralysants du trouble obsessionnel-compulsif, un trouble anxieux mal compris, caractérisé par des pensées intrusives, des peurs tenaces et un comportement ritualisé.
TOC : La guerre intérieure documente les histoires personnelles de plusieurs personnes qui luttent pour survivre à une guerre à l'intérieur de leur esprit. Leurs histoires révèlent un aspect plus profond du trouble, qui va au-delà du lavage constant des mains, du verrouillage des portes et d'autres actes répétitifs généralement associés aux TOC.
Ce long métrage documentaire raconte la vie romantique d’un couple hors de l’ordinaire. Dans leur petite maison de campagne du Nouveau-Brunswick, Jean-Paul et Anne, atteints respectivement de déficience physique et intellectuelle, vivent un amour qui paraît inébranlable. Agrémentée de grandes déclarations et de petits cadeaux, de plaisanteries et de surnoms affectueux, leur relation amoureuse émeut par son intensité et transcende la différence. Ensemble, ils veillent sur les parents, gravement malades, de Jean-Paul. Avec un respect profond pour ceux qui se livrent à lui, Daniel Léger (Un dimanche à 105 ans) montre l’amour à travers les yeux de deux personnes handicapées et, ce faisant, propose une inspirante leçon de bonheur.
L'histoire de Nadia, neuf ans. Atteinte d'une maladie de la moelle épinière, elle doit se déplacer en fauteuil roulant. Elle nous présente ses amis, sa famille. Elle raconte ses jeux, son école, ses difficultés. Nadia est une attachante petite personne, pleine de vie et de ressources.
Ce court métrage documentaire raconte une journée dans la vie d'une fillette de onze ans, prénommée Alanna, qui souffre du syndrome d'alcoolisme fœtal (SAF) et passe un après-midi à la pêche. À Whitehorse où ils vivent, Lilliam et Richard prennent soin d'Alanna depuis qu'elle a six semaines. Leur dévouement et leur affection pour l'enfant les a amenés à travailler pour le Fetal Alcohol Syndrome Society of the Yukon, un organisme qui sensibilise la communauté au SAF. Tout en présentant les effets dévastateurs de l'alcool sur la grossesse, le film dépeint le cheminement et les conditions de vie d'une famille qui a choisi de se dévouer à un enfant qui en est atteint.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Ce court métrage de fiction pour enfants est l’adaptation animée d’un roman primé écrit par l’auteur québécois Gilles Tibo. Avec beaucoup d’inventivité, il raconte l’histoire du jeune Mathieu, qui n’a jamais peur du noir parce qu’il y vit toujours, et se plaît à jouer au détective lorsque vient le jour de son anniversaire.
Âge 16 à 18 ans
Santé/Formation personnelle - Identité
Santé/Formation personnelle - Image corporelle
Santé/Formation personnelle - Relations saines
Santé/Formation personnelle - Santé mentale/Stress/Suicide
Ce film peut contenir des scènes de violence, de nudité ou traiter d’un sujet sensible. Pour public averti.
Ce très court documentaire de Jeremy Peter Allen nous entraîne dans une activité de plage organisée par l’Association des grands brûlés F.L.A.M. Des femmes et des hommes profitent des plaisirs de l’été en famille à Lac-Mégantic. Sans enrobage, la vérité des corps des grands brûlés s’expose au regard des autres. Ce documentaire se prête facilement à de courts projets de recherche sur des personnes souffrant de toute forme de discrimination. Verbalisez votre ressenti après le visionnage du film. Nommez des clichés associés aux grands brûlés, puis associez ces clichés au monde de l’emploi, de la mode et des relations intimes. Expliquez pourquoi il faut apprendre à s’accepter soi-même et à s’aimer pour s’habituer au regard des autres. Justifiez la présence du lac et du feu de camp comme soutien visuel au thème du documentaire.