Ce portrait de la chorégraphe Zab Maboungou nous donne accès au travail de minutie et de force physique derrière une de ses œuvres charnières : Mozongi.
De SCTV à Home Alone, Best in Show ou Schitt’s Creek, Catherine O’Hara s’emploie, au fil de sa légendaire carrière, à soutenir ses partenaires afin de porter la comédie vers de nouveaux sommets.
L’âme de la langue innue s’incarne dans le territoire, l’eau et la forêt, témoins de la disparition rapide du caribou. La musique de Florent Vollant continue de porter cette langue à travers le monde.
Ce court film empreint de sensibilité explore la démarche intérieure d’Alexina Louie, que ses créations sonores uniques situent parmi les compositrices et compositeurs les plus interprétés et les plus estimés du Canada.
Ryan Reynolds évoque son enfance, sa famille et sa carrière, avec quelques détours du côté chaleureux de Twitter qui ne manquent pas d’émouvoir le Canadien en lui.
Ce portrait touchant de Tantoo Cardinal propose un survol des nombreux rôles qu’a interprétés l’actrice. Il salue sa force, son influence, et le fait qu’elle ait su briser le plafond de verre et survivre à cet exploit.
Claude Guilmain signe un portrait de Lynda Hamilton, fervente et indéfectible partisane des arts du spectacle au Canada.
Alliant la poésie à l’autoréflexion, la chorégraphe Crystal Pite façonne la langue dans laquelle s’exprime l’art non verbal de la danse. Aux visions fugitives d’une répétition de son œuvre saluée Revisor s’entremêlent des images de formes naturelles ou industrielles, reflets des états de tension et de connexion qui habitent le corps humain.
Porté par une vision douce-amère du vieillissement et de la solitude en milieu urbain, Samedi, la nuit est un court essai documentaire narré en espagnol par la cinéaste Rosana Matecki. La danse devient prétexte à une exploration intime de la résilience et de la nostalgie à laquelle le paysage sonore immersif et le rythme délicat donnent le ton.
Pour Linda Rabin, tout est mouvement. C’est le principe qui a guidé cette pionnière de la danse moderne au Québec, qui a été tour à tour danseuse, enseignante, chorégraphe, spécialiste de l’éducation somatique et cofondatrice, avec Candace Loubert, de l’École de danse contemporaine de Montréal, en 1981. Selon Linda, les gestes des danseurs ne sont pas que des mouvements techniquement bien exécutés, mais l’expression même de la vie. La spiritualité, l’ouverture au monde et la fluidité des êtres sont évoquées ici avec subtilité.
Assise au centre d’une pièce carrée, la chorégraphe Ginette Laurin revient sur certains éléments clés de sa démarche artistique. Ce qui ressemble d’abord à une simple entrevue filmée prend une tout autre tournure lorsqu’un jeune danseur entreprend d’explorer cette même pièce en repoussant toute logique gravitationnelle. O Vertigo!
Produit par l’Office national du film du Canada, en collaboration avec le Centre National des Arts et la Fondation des Prix du Gouverneur Général pour les arts et spectacles, à l'occasion de la remise des Prix du Gouverneur Général pour les Arts du spectacle 2018.
Lorsque Mavis Staines prend la barre de l’École nationale de ballet en 1989, l’enseignement du ballet a grand besoin d’évoluer. Favorisant une approche qui honore la tradition mais remet en cause les pratiques désuètes, Mavis Staines enclenche un changement de paradigme qui transformera la formation en ballet, au Canada et dans le reste du monde.