Show Girls celebrates Montreal's swinging Black jazz scene from the 1920s to the 1960s, when the city was wide open. Three women who danced in the legendary Black clubs of the day - Rockhead's Paradise, The Terminal, Café St. Michel - share their unforgettable memories of life at the centre of one of the world's hottest jazz spots. From the Roaring Twenties, through the Second World War and on into the golden era of clubs in the fifties and sixities, Show Girls chronicles the lives of Bernice, Tina and Olga - mixing their memories with rarely seen footage of the era. Their stories are told against a backdrop of the fascinating social and political history that made Montreal a jazz and nightclub hotspot for decades. It is a story of song and dance, music and pride.
Les Girls rappelle les années 1920 à 1960, alors que Montréal était une ville ouverte et que l'on dansait toute la nuit au rythme des musiciens de jazz noirs. Trois danseuses des légendaires cabarets noirs qu'étaient le Rockhead's Paradise, le Terminal et le Café St-Michel, évoquent d'inoubliables souvenirs de leur vie au coeur de ce qui était alors l'un des centres de jazz les plus en vogue au monde. Bernice, Tina et Olga se racontent. Ces trois danseuses professionnelles dont la carrière a débuté à l'adolescence, ont connu les années folles, puis la crise des années trente, et l'âge d'or des boîtes de nuit jusqu'aux années soixante. Les Girls mêlent leurs souvenirs à des séquences d'archives rarement vues. Leur histoire a comme toile de fond les fascinants événements politiques et sociaux qui, durant toutes ces années, ont fait de Montréal l'un des grands centres de la vie nocturne et du jazz en Amérique du Nord.
L'histoire du nationalisme québécois, depuis quarante ans, à travers le regard et l'expérience de Pauline Julien, chanteuse, et Gérald Godin, poète et politicien, tous deux engagés depuis vingt-cinq ans à promouvoir la cause de l'indépendance du Québec. À l'image du couple qu'il met en scène, ce film d'amour et de passion rappellera aux uns et fera découvrir aux autres les événements qui ont jalonné l'évolution du grand mouvement nationaliste que toute une génération de Québécois a laissé en héritage à celle qui lui a succédé. (Ce film a été fait à partir du film anglais A Song for Quebec.
Ce court métrage d'animation de Martine Chartrand (Âme noire) raconte le lien d'amitié tissé au Québec, vers 1933, entre Félix Leclerc et Frank Randolph Macpherson, un ingénieur-chimiste jamaïcain qui inspira au célèbre poète une chanson sur la drave. Entre fiction et documentaire, à travers des séquences porteuses d’Histoire et autour de la mise en images de la chanson, la cinéaste réalise une animation de peinture sur verre, évoquant avec délicatesse les sentiments qui auraient lié l’ingénieur et l’une des sœurs du poète.
Ce court film empreint de sensibilité explore la démarche intérieure d’Alexina Louie, que ses créations sonores uniques situent parmi les compositrices et compositeurs les plus interprétés et les plus estimés du Canada.
Ce long métrage documentaire fait un parallèle audacieux entre la campagne électorale de 1970, au Québec, et celle de Maurice Duplessis, en 1936. Grâce à des extraits soumis à un montage serré, le cinéaste, presque pamphlétaire, examine le bouillonnement d'espoir suscité par les élections provinciales de 1970 et pose la question : la Révolution tranquille a-t-elle vraiment changé quelque chose au Québec? Est-il possible que se lève un homme nouveau, en politique, au Québec?
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Empruntant la fluidité d'une chorégraphie, ce court métrage documentaire nous présente Sylvie Mazerolle, une jeune femme pour qui danser est un besoin essentiel. La sensibilité du personnage crève l'écran. À travers sa démarche, le film dresse aussi un état des lieux de la danse en Acadie. Actuellement établie à Vancouver, la jeune danseuse éprouve la nostalgie de son Acadie natale et cherche un projet qui l'en rapprocherait. Mais où qu'elle soit, elle continue de vivre sa passion, car son pays est la danse.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
« L’une des métaphores fondamentales de la danse est la transformation, tout simplement », explique Peggy Baker alors que son image se fond dans une rafale de dessins aux contours flous et de giclées d’encre. Conçu à la suite d’un entretien particulier avec la renommée danseuse et chorégraphe canadienne, Peggy Baker en quatre phrases mêle astucieusement animation et documentaire, recourant à diverses techniques pour rendre hommage à l’œuvre que nous lègue Peggy Baker.
Portrait de la ballerine Anik Bissonnette. Dans la foulée des grandes bâtisseuses, Anik Bissonnette tient la barre de l’École supérieure de ballet du Québec et prépare l’avenir. Après nous avoir éblouis pendant des décennies avec son immense talent de ballerine, elle nous touche à présent avec une nouvelle gestuelle. En écho à ses maîtres, elle transmet à son tour les secrets du mouvement et les bases rigoureuses de son art. Les pas et les gestes des jeunes qu’elle inspire nous offrent le plus beau de tous les ballets, la transmission du savoir.
Ce film a été réalisé à l’occasion de la remise des Prix des Gouverneur général pour les arts du spectacle 2014.
Long métrage documentaire sur la politique québécoise. Pendant près de quatre ans, le réalisateur Manuel Foglia a pointé sa caméra sur Daniel Turp, député péquiste de la circonscription de Mercier, et Charlotte L’Écuyer, députée libérale de Pontiac, tous deux élus pour la première fois en 2003. De la vie parlementaire à l’Assemblée nationale, au porte-à-porte dans les comtés, elle n’est pas simple, la démocratie.
Lorsque Mavis Staines prend la barre de l’École nationale de ballet en 1989, l’enseignement du ballet a grand besoin d’évoluer. Favorisant une approche qui honore la tradition mais remet en cause les pratiques désuètes, Mavis Staines enclenche un changement de paradigme qui transformera la formation en ballet, au Canada et dans le reste du monde.
Court métrage d'animation fantaisiste tout en couleurs, de Norman McLaren. Une poule tantôt Leghorn, tantôt Plymouth Rock, même un oeuf sur deux pattes, exécutent des quadrilles et des valses d'autrefois au son d'une musique populaire.