Ce film d'animation traite du droit de l'enfant de vivre avec ses parents. Il raconte aux 5 à 8 ans l'histoire d'un enfant qui essaie avec douceur et ténacité d'attirer l'attention de son père occupé par ses affaires.
Ce film d'animation place les enfants de 5 à 8 ans devant une situation familière : dans la cour de l'école, des grands oppriment les petits. Mais, surprise, ces petits-là ne se laissent pas faire et la défense constructive triomphe de la loi du plus fort. Film sans paroles.
Quatre enfants subissant toutes sortes de désagréments sous l'influence de la télévision décident de s'en détourner pour s'adonner ensemble à des jeux inventifs et dynamiques. Ce film d'animation, qui s'adresse aux 5 à 8 ans, vise à éveiller le sens critique de l'enfant face à la culture transmise par les médias. Film sans paroles.
Quatre jeunes voient plusieurs enfants du monde rêver de devenir des adultes accomplis puis abandonner leurs beaux idéaux à cause de tristes réalités. Ils s'indignent de cet état de fait et appellent à l'aide. Synthèse des articles 27, 29, 30, 31 et 38 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, ce film illustre le droit de l'enfant à un avenir. Film sans paroles.
Dans ce court métrage d’animation de la cinéaste Michèle Cournoyer, une fillette aime la musique à un point tel qu'elle néglige ses responsabilités domestiques. Son père la réprimande. En cachette, elle transporte alors ses « instruments » au jardin. Son père reconnaîtra finalement ses dons. Inspiré par l'article 29 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, cette œuvre illustre le droit de l'enfant à développer pleinement ses dons et ses aptitudes. Film sans paroles.
Un jeune garçon n'a plus de temps pour lui-même tant ses parents lui ont organisé un horaire chargé : école, leçons particulières de tennis, natation, peinture, devoirs, pratiques de piano, alouette! Inspiré par l'article 31 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant, ce court métrage illustre le droit de l'enfant au repos et aux loisirs.
Ce court métrage d'animation d'Eugene Fedorenko raconte l'histoire d'un enfant rejeté et recueilli par deux clochards. Ce film, qui a remporté l'Oscar® du meilleur court métrage d'animation en 1979, a été réalisé pour commémorer la déclaration de l’UNICEF sur les droits de l’Enfant. Il illustre le principe suivant : «L'enfant a droit, dès sa naissance, à un nom et à une nationalité. » Un court métrage sans parole avec la participation des Mimes électriques au bruitage.
Court métrage d’animation destiné aux tout-petits faisant suite à Coucou! Monsieur Edgar (1999). Monsieur Edgar est un coucou mécanique heureux de vivre dans son horloge et de l'entretenir en attendant le retour de ses trois fils adoptifs. Leur arrivée, une si grande joie, est suivie d'une horrible catastrophe : un engrenage s'est détaché! Monsieur Edgar doit le récupérer. Cependant, il ne peut y parvenir sans le secours de sa nouvelle amie Loulou, une courageuse luciole. Elle met même sa vie en péril pour l'aider. À son tour, Monsieur Edgar la sauve d'un méchant pas et lui réserve une très belle surprise pour lui démontrer son amitié.
Un grand-père conduit son petit-fils à la gare. Tout au long de son voyage, celui-ci découvre, de la fenêtre du train, les problèmes qui bouleversent le monde et imagine des solutions pour rendre heureux tous les enfants de la planète. Synthèse du premier volet de la collection Droits au coeur/Rights from the Heart, Voir le monde/To See the World internationalise pour les 5 à 8 ans la question des droits de l'enfant.
Le rythme dansant qui traverse tout ce film évoque l'intimidation incessante que des brutes infligent à leurs victimes. La danse des brutes incite plutôt les spectateurs - enseignants, parents et enfants - à réfléchir aux moyens de lutter contre le phénomène de l'agression entre pairs.
Ce court métrage d'animation à la fois drôle et touchant saura plaire aux enfants. Il raconte l'histoire de Monsieur Edgar, un coucou dont la vie est réglée comme une horloge. Méthodique et ponctuel, il vit des jours semblables et sans surprise. Mais voilà qu'un soir d'orage, c'est la catastrophe. Une branche se brise et trois oeufs atterrissent dans sa maison. Trois oeufs qui ne tardent pas à devenir oisillons. Adieu calme et sérénité! Le coucou solitaire doit vivre l'expérience de la paternité instantanée. Ses pensionnaires prennent tout son temps! Mais ils en viennent aussi à prendre tout son coeur.
Le 52e film d’Alanis Obomsawin raconte comment la vie de Jordan River Anderson a déclenché un combat pour que les enfants inuits et des Premières Nations bénéficient de soins de santé, de services sociaux et de services d’enseignement public égaux à ceux du reste de la population canadienne.
Aussi disponible dans le coffret DVD Alanis Obomsawin, un héritage
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