Documentaire sur la famille recomposée et les nouvelles conditions de vie qu'elle engendre. Les enfants prennent la parole pour nous livrer des témoignages touchants. Ils se dévoilent, se sentent heurtés, blessés. Des tout-petits aux adolescents à qui on ne dit pas tout. La réalisatrice dresse un constat sensible de la nouvelle réalité familiale.
Découlant directement des Vrais perdants, film-choc d’André Melançon sur l’enfance et l’éducation ayant marqué le cinéma québécois des années 1970, ce long métrage documentaire part à la rencontre des mêmes personnages, 30 ans plus tard. Que sont devenus aujourd’hui les enfants filmés en 1978? Articulé autour de l’idée de la passion, ce film social, coréalisé avec Danny Croussette, met en valeur leurs parcours, leurs façons de se dépasser ainsi que l’évolution de la société québécoise et des mentalités.
Long métrage documentaire posant le problème de l'éducation de l'enfant dans notre société de compétition. Tout en aidant l'enfant à développer ses talents, qu'il s'agisse de hockey, de gymnastique ou de piano, parents et entraîneurs ne cherchent-ils pas, plus ou moins consciemment, à leur faire vivre par procuration leur propre besoin de compétition et leurs propres rêves? Là-dessus, les enfants voudraient peut-être nous parler...
Long métrage documentaire sur l’état de la famille moderne. Isolée, déracinée, celle-ci ne semble plus savoir vivre ni respirer. Que s'est-il donc passé? Mireille Dansereau dresse le portrait de quatre familles de types différents : avec enfant handicapé, en commune, mère monoparentale, enfants de couple séparé. La cinéaste devient une oreille attentive et sensible à qui les protagonistes livrent le fond de leurs pensées.
Étude sociologique de la famille québécoise. En trame de fond, deux événements importants de la vie : un mariage et un décès.
Ce court métrage d'animation d'Eugene Fedorenko raconte l'histoire d'un enfant rejeté et recueilli par deux clochards. Ce film, qui a remporté l'Oscar® du meilleur court métrage d'animation en 1979, a été réalisé pour commémorer la déclaration de l’UNICEF sur les droits de l’Enfant. Il illustre le principe suivant : «L'enfant a droit, dès sa naissance, à un nom et à une nationalité. » Un court métrage sans parole avec la participation des Mimes électriques au bruitage.
Esclave de la vitesse absolue, l'homme pressé «zappe» sa vie. À l'utopie de la civilisation des loisirs semble avoir succédé le temps de la performance et du tout-communication. De nos jours, la technologie s'emballe, le temps s'accélère et paradoxalement, l'homme contemporain n'a jamais été aussi coupé de lui-même. Mais au-delà du constat alarmiste, la réconciliation avec soi et un temps plus personnel reste néanmoins envisageable. Documentaire et fiction, le film s'attache au parcours de plusieurs individus pris dans la tourmente du monde moderne.
Ce court métrage documentaire fait le portrait d’une famille originaire du Lac Saint-Jean. Hubert et Angéline Tremblay célèbrent leurs noces d'or entourés de leurs enfants et de leurs petits-enfants. Mais on a beau fêter, des lézardes se font jour dans la traditionnelle photo de famille. Sans qu'on sache trop pourquoi, les générations autrefois confondues semblent aujourd'hui se détacher discrètement de l'album. Comme si les valeurs « éternelles » rattachées au mariage, au devoir, à la famille, étaient devenues tout à coup fragiles. Un regard en direct sur la société québécoise de la fin des années 1960, décennie de la Révolution tranquille.
Portrait documentaire d’une famille qui fait du théâtre de marionnettes. Conciliant leur passion du théâtre à celle du voyage, Louise, Philippe et leurs trois fils parcourent les routes du Canada. Au programme, une pièce à teneur écologique écrite par Louise. Plaisir des rencontres et découverte de paysages somptueux alternent avec routine du quotidien et fatigue de la route. La fin de cette septième tournée nous fait découvrir les fils devenus des adultes. Seront-ils de la prochaine aventure?
Documentaire suivant un jeune garçon de 7 ans, l'espace d'une semaine au camp Ectus. Les activités sont peu ordinaires dans cette colonie de vacances, située sur la Baie des Chaleurs, au nord du Nouveau-Brunswick.
Document vérité : rage, frustration, désespoir, trois mots qui reviennent sans cesse dans les propos des jeunes de la rue. Ils évoquent aussi, pourtant, les sentiments des parents des toxicomanes. C'est pour eux que la cinéaste a voulu réaliser ce film et revivre son propre passé. Andrée Cazabon s'est attachée au parcours de Cathy et Laurent. Elle les a suivis de longs mois sans rien cacher de leur existence ravagée ni des rechutes qu'ils accumulent.
Dans ce court métrage d’animation autobiographique, Diane Obomsawin (dit Obom) raconte avec humour et lucidité les grandes étapes de son enfance, vécue entre Montréal et la France. De l’Expo 67 au divorce de ses parents, en passant par ses années passées au lycée, la cinéaste dessine le portrait de sa famille et expose la relation qu’elle entretient avec les lieux et les événements qui ont marqué sa jeunesse.
Âge 13 à 16 ans
Domaine des arts - Art dramatique
Santé/Formation personnelle - Croissance et développement humain
Économie domestique/Étude de la famille - Diversité des familles et défis
Ce film est pertinent dans tout cours qui touche à la question de la structure familiale. Quels sacrifices sont exigés des enfants qui vivent dans des familles monoparentales? dans des familles reconstituées? D'après vous, qu'est-ce qui est préférable pour les enfants de couples divorcés? Considérez-vous que les enfants paient très cher la séparation de leurs parents? Justifiez votre réponse par des exemples tirés du film. Ce reportage peut aussi être présenté dans un cours d'art dramatique, car on y découvre l'intérêt de l'improvisation pour illustrer des scènes qui traitent de sujets difficiles. Quelle fonction remplissent les exercices d'improvisation?