Film composé de deux suites tirées du répertoire de la célèbre troupe folklorique non-autochtone Les Feux follets. 1re suite : La Plaine. Cérémonie autochtone de fiançailles. Arrivent des jeunes filles et des jeunes garçons avides de les conquérir. Fiançailles et réjouissances. 2e suite. La Discothèque. Les Beatniks qui se livrent à une danse endiablée.
Veuillez noter que cette production a été réalisée en 1966 et qu’elle illustre les comportements et les opinions de son temps. Certaines séquences pourraient sembler offensantes au public actuel, mais le film doit être vu comme un produit culturel de l’époque dont il est issu. La perspective de la population canadienne et celle de l’ONF ont évolué : depuis la création du film, nous avons pris conscience des droits, des réalités et des points de vue des peuples autochtones. En ajoutant sans cesse à sa riche collection de films réalisés par des Autochtones et mise à la disposition du public au Cinéma autochtone, l’ONF continue de s’employer à combattre les stéréotypes visant les Autochtones et à dépeindre avec exactitude la diversité des expériences que vivent leurs communautés.
Pour passer l'hiver un village de l'arrière-pays ne peut survivre sans la mémoire des chansons et les accords de la danse.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Ce long métrage documentaire donne un aperçu joyeux de la dernière soirée des Veillées d'automne, un festival de musique traditionnelle présenté à Montréal, en 1975. Ce précieux document vient témoigner de la vitalité du « son » populaire de chacun des peuples participants.
Long métrage documentaire tourné à trois endroits aussi éloignés les uns des autres : la Louisiane, l'Acadie et le Québec, mais où l’on joue Le reel du pendu – une pièce musicale interprétée au violon, à l’harmonica, à la guitare ou à l’accordéon depuis plus de deux cents ans. À travers cette musique improvisée d'un condamné à mort, le spectateur est invité à découvrir pour son compte « le son des Français d'Amérique ».
Partant des « frolics » d'autrefois, sortes de corvées de travail collectif doublées d'une grande fête, vieille tradition acadienne dont nous entretiennent les vieux, ce long métrage documentaire nous transporte en plein « frolic » de la fin des années 1970 : une grande revue musicale organisée par le Mouvement du frolic, véritable « veillée des veillées », sorte de Woodstock acadien. Un film sur la musique et les artistes traditionnels de l'époque en pays acadien, réalisé par Laurent Comeau, Marc Paulin et Suzanne Dussault.
Ce long métrage documentaire est un portrait de Gilles Garand, un homme engagé. Engagé, passionnément, dans la musique de ses racines qu'il interprète à l'accordéon et à l'harmonica et donne en partage en organisant l'événement annuel La grande rencontre. Engagé, depuis maintenant 17 ans, dans le mouvement syndical où il défend, bruyamment, les droits des travailleurs. Engagé, chaque instant, dans la vie, porté par une mémoire vivante et inspiré par sa mère dont la fougue ne se dément pas.
Homme du peuple, chauffeur de taxi, Jean Carignan est surtout l'un des plus grands violoneux du monde. Sous ses doigts, les « reels » ou rigodons apparaissent comme une musique complexe, savante, appelant une virtuosité digne de Paganini; un genre musical transmis « par oreille » et resté populaire, dont les « grands » s'appellent Skinner, Coleman, Allard. Jean Carignan en exécute un répertoire considérable et livre le fruit de recherches en Irlande et en Écosse, qui ont fait de lui un spécialiste internationalement reconnu de la musique celte. Ce film, c'est aussi une histoire d'amour entre un enfant pauvre et son violon, et un témoignage social unique sur une époque héroïque.
Le 32e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Chef-d’œuvre d’animation mettant en vedette Paul Cormier, alias Monsieur Pointu, un sympathique violoniste tentant d’apprivoiser en vain son instrument. Ce dernier entraîne à sa suite les objets les plus divers dans une étourdissante ronde pour embêter notre « violoneux ». Le virtuose prendra rapidement goût au jeu et embarquera dans la danse. Film sans paroles sélectionné aux Oscars en 1975.
Long métrage documentaire sur la lutte des Acadiens pour la survie de leur culture. Deux cent cinquante ans après la Grande Déportation, les Acadiens et leur culture sont encore bien vivants. Aujourd'hui, plus de deux millions de personnes d'origine acadienne occupent la terre d'Amérique. Mais pourquoi après avoir fondé la première colonie en Amérique du Nord, ce peuple doit-il encore lutter pour dire à la face du monde qu'il existe toujours? Intrigué, le cinéaste André Gladu est parti à sa rencontre. Cherchant à comprendre l'esprit qui anime les Acadiens, et à retracer leur histoire singulière au cœur du continent, il nous présente de fascinants personnages, pour qui la défense de la culture acadienne demeure l’œuvre de toute une vie.
Ce documentaire de Gil Cardinal et Wil Campbell examine les programmes de spiritualité autochtone mis sur pied dans les établissements pénitentiaires fédéraux de l’Ouest canadien. Dirigés par des aînés autochtones, avec l’assistance d’agents de liaison, ces programmes comprennent des ateliers et des cérémonies qui contribuent à remettre les détenus en contact avec eux-mêmes, leur culture et leur spiritualité.
Tourné dans les plaines d'Alberta, ce court métrage documentaire montre pour la première fois la Danse du Soleil. Véritable document ethnologique, il raconte par la bouche de Pete-qui-va-tout-seul, jeune Indien qui appartient au pétrole et aux superstructures d'acier, le drame d'une civilisation qui meurt.
Court métrage documentaire dédié aux participants de la Nuit de la poésie du 8 mars 1975, à l’Université de Moncton, en Acadie. Lecture, prestations musicales, chansons acadiennes, poésie… les artistes et les auteurs se succèdent devant un public conquis. Entre les numéros, des scènes de la vie quotidienne nous présentent l’Acadie.