This documentary introduces us to Stephen Jenkinson, once the leader of a palliative care counselling team at Toronto's Mount Sinai Hospital. Through his daytime job, he has been at the deathbed of well over 1,000 people. What he sees over and over, he says, is "a wretched anxiety and an existential terror" even when there is no pain. Indicting the practice of palliative care itself, he has made it his life's mission to change the way we die - to turn the act of dying from denial and resistance into an essential part of life.
Ce long métrage documentaire saisissant suit Stephen Jenkinson, alias l’Ange de la mort, qui accompagne des personnes mourantes. Son message? « On ne doit pas nier ou fuir la mort, mais plutôt s'en faire une amie. » Un portrait bouleversant porteur d’une réflexion profonde sur le décès et le deuil, mais aussi sur la vie et la vieillesse, selon une perspective philosophique, spirituelle et théologique.
C'est l'été et Ludovic est invité à passer quelques jours chez son grand-père. Le petit ourson est heureux de retrouver grand-papa, mais il se rappelle avec tristesse que grand-maman n'est plus là. Une pièce remplie de souvenirs attire l'ourson qui, après un moment d'hésitation, décide d'y pénétrer. Le portrait de grand-maman est là, Ludovic l'étreint. Les visites au boudoir se multiplient et, petit à petit, le portrait s'anime. Ludovic peut l'embrasser, la serrer contre lui, mettre sa musique préférée et lui tendre la main pour une dernière valse... Une histoire attachante où l'émotion est mise en relief par la musique de Daniel Lavoie. Un grand moment d'intimité et de complicité entre un grand-père et son petit-fils qui apprivoisent tranquillement le deuil de grand-maman.
Marguerite Paquin vit dans une résidence pour aînés où 14 soeurs de sa communauté religieuse sont décédées de la COVID-19. Le film nous mène de la grandeur des paysages de la Côte-Nord, où Marguerite a travaillé pendant 47 ans, jusqu’au confinement de sa chambre actuelle, où elle trouve une forme de liberté par la prière et une solidarité inébranlable pour ses consœurs souffrantes.
Documentaire questionnant l’acharnement thérapeutique. Lorsque vivre signifie mourir à petit feu, perdre toute autonomie, voir se dégrader l'image que l'on a de soi, la mort devient parfois la délivrance ultime. Testament biologique, acharnement thérapeutique, euthanasie active, euthanasie passive, quelle liberté de choix notre société nous offre-t-elle? Avec courage et générosité, des malades gravement atteints nous parlent de qualité de vie et de leur volonté de mourir dignement. En parallèle, des médecins proposent une approche plus humaine de la maladie et de la mort.
Court métrage d'animation sur le séjour semé d'embûches de l'oncle Bob à l'hôpital. Celui-ci ne rajeunit pas, mais il se débrouille très bien, merci... jusqu'au jour où la maladie vient chambouler sa vie. Coupé de son milieu familier et plongé dans l'univers inconnu et déroutant de l'hôpital, oncle Bob devra trouver une raison de guérir. Rempli de charme et d'humour, Oncle Bob à l'hôpital fait valoir l'importance du soutien, de l'espoir et de l'amour dans le processus de guérison.
Film d'animation dévoilant le récit d'une relation hors de l'ordinaire, toute de tendresse et de complicité. Ce film témoigne des bouleversements physiques et psychologiques qui se vivent, pour un grand-papa et son petit-fils, au fil des ans. Voilà ainsi posée une douce réflexion sur le caractère changeant des choses et de la vie.
Roselène contemple. Mary médite. En toile de fond, il y a les longues heures, la pandémie, le travail de soins périlleux et exigeant. À travers une succession rythmée d’images d’archives et contemporaines, cet essai rappelle et confond le milieu institutionnel et le moment de recueil. Suggérant la continuité historique de la violence des politiques de travail et leurs répercussions sur les femmes noires, Sòl évoque une prière prononcée en plein quart de nuit, une méditation.
Ce court métrage documentaire relate la vie et les coutumes religieuses des Iroquois de la tribu de la Grande maison. Au début des années 1950, les membres de cette tribu adoptent certaines coutumes occidentales, mais ne renoncent pas pour autant aux pratiques religieuses de leurs ancêtres. Le film décrit la vie rurale et les cérémonies religieuses de cette communauté autochtone, ainsi que la communion avec la nature qui caractérise sa foi.
Une femme veille au chevet de son père mourant et s’évade dans ses souvenirs d’enfance. 4 Nord A est une ode à la joie de vivre et un rappel doux-amer que la vie ne se termine pas toujours comme nous le souhaitons. Sans paroles.
Ce documentaire de Gil Cardinal et Wil Campbell examine les programmes de spiritualité autochtone mis sur pied dans les établissements pénitentiaires fédéraux de l’Ouest canadien. Dirigés par des aînés autochtones, avec l’assistance d’agents de liaison, ces programmes comprennent des ateliers et des cérémonies qui contribuent à remettre les détenus en contact avec eux-mêmes, leur culture et leur spiritualité.
Animation expérimentale qui questionne la vie, la mort, l'au-delà. À l'aide de cas d'espèces, de récentes études et d'anciens mythes, la mort y est dépeinte comme une expérience stupéfiante, mais également méthodique, où sont passées en revue les expériences individuelles passées. Film sans paroles.
Âge 16 à 17 ans
Économie domestique/Étude de la famille - Vieillissement/Mort et agonie
Éthique et culture religieuse - Diversité/Héritage religieux
Études autochtones - Identité/Société
Échanger en classe sur les croyances religieuses à l’égard de la mort. Revenir au film avec ces questions : D’où viennent les convictions de Steve Wilkinson? D’où lui viennent ses idées? Que veut-il dire par « La mort nous rend humains »? Inviter les élèves à recenser et commenter les nombreux symboles que le réalisateur Tim Wilson utilise dans son film. Quel est le but de ce symbolisme?