Ce film est à la fois un requiem élégiaque, un examen abstrait de la déification erronée de l’architecture et de l’urbanisation dans le monde moderne, et de l’incidence de ce divorce dans notre rapport à la nature.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».