Reconnu depuis ses débuts comme une forme d’expression essentiellement culturelle et identitaire, notre cinéma a vécu ces dernières années un changement de cap majeur en passant à l’âge de la performance commerciale. Le pouvoir est donc passé aux mains des gros distributeurs qui, à coups de campagnes de promotion agressives et coûteuses, ont réussi à faire la conquête d’écrans monopolisés depuis toujours par les Américains. Bravo! Mais il y a un prix à payer pour cette réussite. C’est celui de l’uniformisation.
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Cinéma québécois : l'âge de la performance, Jean-Pierre Maher et Georges Privet, offert par l'Office national du film du Canada