Nos cinéastes montent au front politique dès la fin des années 50. Affirmation culturelle, indépendance nationale, contestations des jeunes, lutte des classes : caméra au poing, on filme l'histoire en marche, on capte en direct l'extraordinaire ébullition qui secoue le Québec durant deux décennies. Après l'euphorie créée par le premier référendum, c'est la désillusion. L'enthousiasme des cinéastes pour la politique s'étiole quand il ne disparaît pas totalement. Sommes-nous passés de la politique au politique?
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