Ce court métrage documentaire est une chronique du quotidien des gens de la ville. On y entend des témoignages de citoyens sur des images en noir et blanc de la vie au centre-ville. Produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.
« Aube urbaine prouve par l'évidence que le cinéma est aussi simplement cette saisie fugitive, dans la rue, au coin de chez soi, des choses, des gens et de leurs gestes, de la lumière. Un film pour rien, pour le plaisir, touché par l'aile de l'ange du cinéma. » ─ Michel Euvrard, Ciné-Bulles.
Court métrage documentaire sur la solitude. De plus en plus de gens vivent seuls. Dans plusieurs villes, statistiquement, le nombre de logements à un seul occupant dépasse celui des familles. Du jamais vu. Ce film a été produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.
Court métrage d’animation en trois temps sur l’aube, une jeune femme et la fin du jour, raconté à la manière d’une biographie instable. Ce film a été produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.
Dans ce court métrage de fiction, un homme part pour la pêche, laissant derrière lui sa femme, inquiète de ne jamais le revoir. Sur sa route, il s'arrête dans un quartier sombre et enlève une jeune fille. Cette année, son trophée de pêche sera fort différent. Ce film a été produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.
En utilisant les archives sonores du légendaire animateur canadien, Norman McLaren, ce court métrage d’animation recrée un portrait unique de l'artiste. Plongé dans l'univers intime du processus de création filmique, cet essai visuel nous entraîne dans les confidences inédites de McLaren et de sa vision bien personnelle du cinéma, image par image. Ce film a été produit avec l'aide du programme ACIC de l'ONF.
Ce long métrage documentaire se penche sur le refus des pêcheurs gaspésiens de se soumettre à une planification décrétée par les deux paliers de gouvernement. À Saint-Yvon, malgré un quai en ruines, à Cloridorme et à l'Anse-au-Griffon, on continue à pêcher malgré les mesures officielles (ARDA, BAEQ, ODEQ), qui prévoient l'élimination de la pêche côtière, l'abandon de villages (« installations à disposer ») et le regroupement des pêcheurs dans des centres urbains de pêche industrielle.
Ce long métrage documentaire raconte les 30 premières années de cinéma d'animation à l'ONF, débutant sous le chapeautage et l'inspiration créative du légendaire Norman McLaren. Le génie de l'animation y explique comment il forme la première équipe d'animation de l'Office nationale du film. Et le film montre les premiers coups de génie des pionniers techniques de l’institution.
Réalisé à partir de chutes inédites – des tests qui ont été faits pour la réalisation du film Il était une chaise (1957) de Norman McLaren, Flocons est un court métrage d'animation en noir et blanc qui met en scène, sur une musique de Tchaïkovski, nul autre que Claude Jutra. Le cinéaste canadien y incarne un personnage prisonnier de la pellicule sur laquelle le maître de l’animation peint directement. Flocons veut souligner le centenaire de la naissance de Norman McLaren en 2014.
Ce film est à la fois un requiem élégiaque, un examen abstrait de la déification erronée de l’architecture et de l’urbanisation dans le monde moderne, et de l’incidence de ce divorce dans notre rapport à la nature.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Court métrage de fiction se déroulant dans un patelin abandonné par une compagnie minière quelque part près de Rouyn-Noranda. Une histoire banale de ville fantôme, sauf peut-être pour les enfants qui y sont restés et qui recréent, pour s'amuser, une société à leur mesure... Une histoire d'enfants trop libres dans une ville sans avenir.
Réalisé par Raymond Le Boursier, ce film est le tout premier écrit par Gilles Carle au sein de l’Office national du film du Canada.
Tourné en 1964, ce long métrage documentaire de Jacques Godbout explore l'univers de la délinquance à travers les cas de huit jeunes ayant déjà commis des délits. Avec une pointe d'humour, le cinéaste dresse le portrait de ces jeunes provenant de milieux défavorisés, qui rêvent à un monde meilleur.
Du Québec à la Biélorussie, comment voyage la notion de liberté? Nous le découvrons en même temps qu'un groupe de jeunes Québécois, débarqués dans un pays dont ils ne savent presque rien. Curieux et volontaires, ils prennent part à un projet de rencontre entre jeunes de nationalités différentes. Ils y apprendront que si la liberté est une aspiration universelle, elle varie selon les épreuves que l'Histoire a fait subir aux peuples.