A feature drama about a girl torn between two cultures, the English-speaking community of Vancouver where she grew up and the French-speaking Québec where the film opens. Her uncertainty extends to her lovers, one from Vancouver who wants to take her home and the other from Québec who would like to continue their pleasant, if inconclusive affair. The settings show a Québec winter and British Columbia spring.
Un jeune homme venu du Congo pour vivre au Canada nous parle des défis de s'adapter à une vie complètement différente.
Dans ce court métrage documentaire, trois femmes francophones originaires du Sénégal, du Mexique et de la Belgique posent un regard sur leur expérience d’immigration à Vancouver, où elles élèvent seules leurs enfants. Avec force et résilience, ces femmes prennent le pari de reconstruire leur vie et d’offrir « cet autre possible » à leur enfant, tout en cherchant à faire leur place dans la société canadienne.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Documentaire sur des élèves d'une école secondaire francophone en Ontario. Bon nombre d'entre eux, issus de la francophonie, en sont à leurs premiers balbutiements dans la langue de Shakespeare. En s'attachant aux pas de quelques-uns d'entre eux, la réalisatrice montre la diversité et l'ampleur des défis que ces jeunes venus d'ailleurs ont à relever chaque jour.
Au chalet familial du lac Wakaw, en Saskatchewan, la réputée auteure-compositrice-interprète fransaskoise Alexis Normand nous convie à une discussion franche sur l’appartenance et le bilinguisme dans les Prairies. Entremêlant des extraits de vieux films familiaux à cette conversation actuelle, Assez French met en relief les combats et les victoires que comporte la reconquête de son identité canadienne francophone. Alors que parents, enfants et petits-enfants se rassemblent pour chanter, jouer et faire la fête, en français et en anglais, cet acte de transmission d’une langue devient enfin synonyme de joie et de liberté.
L’Ordre de Jacques Cartier (la Patente) était une société dite « secrète » qui a servi les Canadiens français et les Acadiens comme outil de réseautage et noyautage de 1926 à 1965. Au plus fort de ses activités au milieu des années 50, elle réunissait environ 12 000 hommes aux valeurs patriotiques, catholiques et pro-francophones. Ses objectifs étaient simples: défendre les intérêts des minorités francophones du Canada par l'entremise d'une élite militante qui infiltrait et influençait l’administration d’organismes publics et d’entreprises privées. Un puissant lobby auquel le père du réalisateur Phil Comeau appartenait.
Des jeunes discutent de l'acné, cet incontournable de l'adolescence, et comment cela affecte notre estime de soi.
Rodolphe Caron témoigne de la passion de Léonard Forest pour le cinéma et du rôle important joué par celui-ci dans la création du studio Acadie. Bien qu’une quinzaine d’années se soient écoulées avant que d’autres studios n’aient été créés, le studio Acadie est demeuré un gage de liberté dans la création des films. L’ONF a permis l’existence d’un cinéma acadien bien vivant.
La réalisatrice nous décrit son parcours de documentariste, lequel est étroitement lié au Studio Acadie. Elle croit que des réflexions collectives ont émergé grâce à la présence de l’ONF en Acadie . Elle cite en exemple l’hôpital l’Enfant-Jésus, que la mobilisation citoyenne et le film On a tué l’Enfant-Jésus, ont permis de rouvrir. Le support de l’ONF et l’engagement citoyen ont fait leur chemin. « Des petits miracles qui te donnent envie de continuer. »
Réalisatrice de la relève, Anika nous fait part de sa passion pour son travail de réalisatrice et donne son point de vue sur l’ONF dans le contexte international. Elle témoigne du privilège qu’elle a de profiter de l’expertise de professionnels de l’ONF. Ceux-ci l’ont écoutée et lui ont permis une grande liberté de création. « Pour moi, l’ONF c’est une voix à travers le Canada et à travers le monde. C’est une liberté de pouvoir transmettre une idée, une histoire. Ça m’a donné une bouffée de confiance! »
Cinq ados discutent de l'impact des médias sur l'estime de soi.
À la fois film à scénario, reportage et enquête sociologique, ce long métrage est avant tout une aventure collective. Fait en collaboration avec un groupe de citoyens du comté de Gloucester, au Nouveau-Brunswick, le film s'adresse non seulement à la population concernée mais également à qui veut bien reconnaître l'importance sans cesse croissante du fait social.