Stuttering is as old as human speech. The biblical Moses stuttered. Winston Churchill, Marilyn Monroe, King George VI and James Earl Jones were also afflicted with the disorder--yet it remains a medical enigma. Unspeakable examines the nature, history and treatment of a speech impediment that affects about 1% of the world’s population regardless of language, culture, class or ethnicity.
Throughout the ages there have been all sorts of explanations for what causes stuttering but attempts at curing it have been as frustrating as finding its cause. While stuttering inevitably causes emotional distress, which aggravates the disorder, there is no evidence that it is a personality disorder. Speech therapy for pre-schoolers who stutter can be quite effective but treatment for older children and adults is often frustrating and disappointing.
John Paskievich, the film's director, is a person who stutters. He also narrates and is an active participant in the film. His story and the stories of others in the film are poignant, funny, angry and courageous, providing eloquent testimony to what it means to live imprisoned in what the poet W.H. Auden called "the tower of stutter."
According to Paskievich, "the film is a call for liberation, not from stuttering, but from the ignorance and stigma that surround it."
Dans une société qui met tout dans des cases et qui nous divise dans des catégories bien définies, où se situe une personne avec un esprit fort et un corps affaibli? En suivant Heidi Janz dans sa vie quotidienne, avec sa série unique de responsabilités, d’occasions et de défis, Nous avons le regret de nous informer... pose un regard sans pathos et sans complexe sur ce que ça signifie d’être à la fois « handicapé » et « productif ».
Ce court métrage documentaire raconte une journée dans la vie d'une fillette de onze ans, prénommée Alanna, qui souffre du syndrome d'alcoolisme fœtal (SAF) et passe un après-midi à la pêche. À Whitehorse où ils vivent, Lilliam et Richard prennent soin d'Alanna depuis qu'elle a six semaines. Leur dévouement et leur affection pour l'enfant les a amenés à travailler pour le Fetal Alcohol Syndrome Society of the Yukon, un organisme qui sensibilise la communauté au SAF. Tout en présentant les effets dévastateurs de l'alcool sur la grossesse, le film dépeint le cheminement et les conditions de vie d'une famille qui a choisi de se dévouer à un enfant qui en est atteint.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Ce long métrage documentaire suit le combat que mène le cinéaste ojibway Brion Whitford, diabétique avancé, pour recouvrer la santé. On le voit alors qu’il s'initie à la roue médicinale, une approche holistique issue de la compréhension autochtone des liens qui unissent entre elles les dimensions physique, mentale, émotionnelle et spirituelle de la vie.
Un tournoi de hockey sur luge oppose pendant une fin de semaine des équipes de jeunes Américains et Canadiens. Destiné aux joueurs ayant des difficultés physiques, ce sport suit les mêmes règles que le hockey traditionnel : passer la rondelle, tirer au but, railler les adversaires. Le réalisateur Sam Vint filme l’action de bout en bout tandis que les Sledgehammers du Manitoba se donnent à fond.
Ce long métrage documentaire met en scène de jeunes artistes sourds qui, après avoir passé une enfance inconfortable dans la zone grise entre les cultures orale et sourde, sont entrés dans l’âge adulte en proclamant leur identité sourde. Ce film démontre comment ils contribuent à bâtir et à faire rayonner la culture sourde, par la voie des arts.
Ce long métrage documentaire raconte la vie romantique d’un couple hors de l’ordinaire. Dans leur petite maison de campagne du Nouveau-Brunswick, Jean-Paul et Anne, atteints respectivement de déficience physique et intellectuelle, vivent un amour qui paraît inébranlable. Agrémentée de grandes déclarations et de petits cadeaux, de plaisanteries et de surnoms affectueux, leur relation amoureuse émeut par son intensité et transcende la différence. Ensemble, ils veillent sur les parents, gravement malades, de Jean-Paul. Avec un respect profond pour ceux qui se livrent à lui, Daniel Léger (Un dimanche à 105 ans) montre l’amour à travers les yeux de deux personnes handicapées et, ce faisant, propose une inspirante leçon de bonheur.
Ils semblent être des gens ordinaires. Ils n'ont aucun handicap physique et semblent aussi fonctionnels que n'importe qui d'autre. Mais leur vie a été assombrie par les effets paralysants du trouble obsessionnel-compulsif, un trouble anxieux mal compris, caractérisé par des pensées intrusives, des peurs tenaces et un comportement ritualisé.
TOC : La guerre intérieure documente les histoires personnelles de plusieurs personnes qui luttent pour survivre à une guerre à l'intérieur de leur esprit. Leurs histoires révèlent un aspect plus profond du trouble, qui va au-delà du lavage constant des mains, du verrouillage des portes et d'autres actes répétitifs généralement associés aux TOC.
Ce court métrage d’animation raconte l'histoire d'une jeune femme au visage disgracieux qui écrit des romans à succès, au loin, sur une île... Pendant ce temps, sa sœur Marie, son unique compagne, veille à leurs besoins quotidiens. Un beau jour, elles reçoivent la visite d'un étranger qui vient rompre l'harmonie de leur solitude à deux... Sur le ton de la nouvelle, cette saisissante étude de caractère nous transporte dans un univers trouble où la dépendance prend plusieurs visages. Réalisé par mode de gravure sur pellicule 70 mm teintée, puis tourné au banc-titre.
Court métrage de pâte à modeler sur table lumineuse, qui donne vie avec beaucoup de sensibilité aux diverses émotions qui tissent le quotidien de John et Michael. Le film transcende nos idées préconçues sur la déficience, la sexualité et la mort. Dans ce récit fortement touchant, les différences s'évanouissent. L'amour n'est-il pas le propre de la condition humaine!
L'histoire de Nadia, neuf ans. Atteinte d'une maladie de la moelle épinière, elle doit se déplacer en fauteuil roulant. Elle nous présente ses amis, sa famille. Elle raconte ses jeux, son école, ses difficultés. Nadia est une attachante petite personne, pleine de vie et de ressources.
Documentaire suivant le parcours de 15 personnes souffrant de problèmes de santé mentale invitées à participer à un programme de rétablissement par le chant. En tant que chanteurs, ils réussiront à enregistrer un CD et à performer sur scène devant 500 personnes.
Pendant un an, Le cinéaste Blaise Barrette a suivi leur aventure exceptionnelle qui leur a permis de reprendre confiance en eux-mêmes. Des difficiles premiers cours de chant jusqu'au spectacle couronné de succès, Ces voix oubliées raconte l'éclatante métamorphose des participants. Un documentaire inspirant qui remet en cause les préjugés.
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