Only fifty years after the Holocaust, the world has allowed another genocide to take place, this time in Rwanda. In April 1994, the international community sat by and watched while a million Tutsi men, women and children were massacred in the central African nation. Sitting on a Volcano, the first volume in the three-part Rwanda series, follows the exodus of hundreds of thousands of Hutus who fled Rwanda to take refuge in neighbouring countries. One year after the slaughter, they find themselves trapped beween gangs of Rwandan war criminals in control of the refugee camps and their country's new masters, who show little interest in reconciliation. Sitting on a Volcano criticizes the international community, which continues to feed the killers in the refugee camps and refuses to acknowledge human rights violations in Rwanda. The video makes a strong case that until those responsible for the genocide are brought to justice, Rwanda cannot begin to heal itself. Volume 2 of the series.
Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine».
En 1994, le plus important exode des temps modernes heurtait la communauté internationale : deux millions de Rwandais quittaient leur pays, fuyant la guerre et le génocide. Un nom résumait cet exode : Goma, au Zaire., où 3,000 personnes par jour allaient mourir du choléra en juillet 1994. Ce film décrit l’impasse de l’aide humanitaire qui, à Goma, nourrit les tueurs et renforce leur emprise sur les réfugiés.
Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine».
Ce film reconstitue le récit des préparatifs, de l’exécution et des lendemains tragiques d’un crime que la conscience et les lois internationales avaient pourtant appelé à prévenir et à punir. À travers trois ans de tournage, le film suit le cheminement de Rwandais au coeur même de chaque composante du génocide. Filmé sur trois ans, ce document unique soulève des questions troublantes sur le fait que le monde a fermé les yeux devant un des pires crimes contre l’humanité, «parce que le Rwanda était trop petit, trop éloigné, trop pauvre et probablement trop noir pour en valoir la peine».
Ce film décrit la descente aux enfers du seul missionnaire canadien qui a refusé de quitter le Rwanda et a vécu toute la tragédie au milieu de ses paroissiens. Trois mois après le génocide, le Père Claude Simard est brutalement assassiné. En poursuivant l’enquête sur ce crime, ce documentaire révèle les nouveaux cauchemars vécus par les Rwandais, et présente un portrait saisissant du rôle de l’Église et de l’aide internationale. Un regard critique sur le rôle du Canada dans ce pays.
Rencontrer Soraida, c'est découvrir le véritable visage de la Palestine, un pays où les femmes ne sont pas toutes voilées, où les hommes ne parlent pas la langue de bois et où les enfants ne sont pas des bombes humaines : ils jouent à cache-cache, mais parfois, ce sont les soldats israéliens qui comptent jusqu'à dix. Soraida nous invite chez elle, et ose poser la question qui pointe sur nos lèvres : lorsque nous sommes écrasés, comment ne pas perdre notre humanité? Pour toute réponse, elle nous offre le récit de petites victoires et des résistances quotidiennes au conflit, qui nous plongent au coeur de l'expérience humaine, dans les replis les plus intimes de la vie d'une femme de Palestine. Un film intimiste de Tahani Rached, produit par l'Office national du film du Canada.
Court métrage documentaire sur la guerre de Corée qui survint au début des années 1950, en pleine guerre froide. Grâce à la coopération des officiers et des soldats de la 25e brigade d’infanterie canadienne, on nous explique les enjeux de l’affrontement et on nous présente l’emploi du temps de quelques-uns des 6000 soldats canadiens qui combattirent aux côtés des troupes des 14 pays membres des Nations Unies à la défense de la Corée du Sud.
Long métrage documentaire sur la création de la Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations Unies (Casques bleus). Le 29 octobre 1956, le monde est en émoi : les armées israéliennes envahissent le territoire égyptien. Deux jours plus tard, les forces franco-britanniques débarquent à Port-Saïd, et demandent à Israël et à l'Égypte de mettre un terme à toute action belligène. Devant le rejet de l'ultimatum, les combats font rage. Après que l'ONU eut exigé un cessez-le-feu immédiat, le délégué canadien aux Nations Unies Lester B. Pearson réclame la création d'une force internationale pour assurer la cessation des hostilités et maintenir la paix.
Ce long métrage documentaire suit Sorgul et Amir dans leur déchirant voyage de retour en Afghanistan après 16 ans hors du pays. Partis en séjour scolaire dans le Tadjikistan, pays voisin, durant l’occupation soviétique, ils sont abandonnés lorsque l’Afghanistan sombre dans le chaos, qu’une guerre civile éclate. Ensemble les deux jeunes hommes traversent les paysages les plus arides et les plus grandioses qui soient. Lorsque leurs chemins se séparent, l’avenir se présente à eux comme une suite d’aléas menant, l’espèrent-ils, à une forme d’aboutissement.
Documentaire sur les Dinkas, peuple d'une extrême patience vivant au sud du Soudan. Résignés, le ventre creux, ils attendent la prochaine récolte. Depuis quarante ans, une guerre civile intermittente a coupé le pays en deux. Trop souvent, la famine a frappé. La voici de retour. Elle ravage les corps et multiplie les deuils. La population d'Alek a demandé de l'aide. Des sacs de grains tombent du ciel mais pour éviter les émeutes, la distribution ne peut avoir lieu avant l'arrivée des renforts. La réalisatrice a tenté de découvrir le visage de la faim pendant cette semaine interminable.
Plaidoyer saisissant contre la guerre, témoignage poignant des rescapés libanais, notamment de ceux qui ont échappé aux massacres de Sabra et de Chatila, ce film saura intéresser non seulement les personnes concernées par la situation du Liban, mais aussi toutes celles qui se préoccupent des conséquences des guerres sur les populations civiles - ces soi-disant dommages collatéraux.