Le 24e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Film expérimental qui met en scène Margaret Mercier et Vincent Warren, deux étoiles des Grands Ballets canadiens. Les danseurs vêtus de blanc évoluent dans un décor peint en noir, et l'ensemble, harmonieux, traduit toute la créativité de McLaren.
Court métrage expérimental mélangeant des techniques d’animation et de prise de vue réelle. Un film où chaque image n'est jamais le résultat d'un seul cliché, mais de plusieurs. Des trucages optiques font de cette réalisation exclusivement esthétique, une intéressante expérience audiovisuelle; car la musique électronique originale contribue largement, elle aussi, à donner à la danse une toute nouvelle dimension qui ne saurait se retrouver ni sur scène ni en coulisses. D'après une chorégraphie de Martine Époque. Film sans paroles.
Ce film nous fait assister à une leçon de flamenco donnée par Susana et Antonio Robledo, professeurs venus d'Espagne. Entrecoupé d'anecdotes sur les origines du flamenco et sur la vie et la carrière de Susana et Antonio Robledo, Flamenco à 5 h 15, gagnant d'un Oscar® en 1984, nous permet non seulement d'apprécier la maîtrise des danseurs de l'École nationale de ballet, mais nous offre surtout l'occasion de voir à l'oeuvre le couple Robledo, pour qui le flamenco est devenu un art de vivre.
Dans ce très court film d’animation impressionniste réalisé en crayon sur papier, la cinéaste Lise-Hélène Larin raconte la métamorphose d’une carte géographique du Canada en des silhouettes incarnant les différentes provinces et territoires du pays. D’un petit pas de danse, ces formes humaines découvrent des richesses naturelles qu’elles se partagent au rythme d’une ronde.
Ce court métrage d’animation est le 59e film du cinéaste Norman McLaren. Narcisse, tiré de la mythologie grecque, aborde un thème universel : l'étape perpétuellement ratée de l'ouverture à l'autre, jusqu'au repliement voluptueux sur soi-même, où l'humain se retrouve piégé. Résumé du génie technique de ce cinéaste parmi les plus prestigieux du monde, fruit de procédés d'impression optique, c'est aussi une œuvre de pure esthétique, où des corps en fleur se frôlent dans l’éternelle quête de l'amour.
Empruntant la fluidité d'une chorégraphie, ce court métrage documentaire nous présente Sylvie Mazerolle, une jeune femme pour qui danser est un besoin essentiel. La sensibilité du personnage crève l'écran. À travers sa démarche, le film dresse aussi un état des lieux de la danse en Acadie. Actuellement établie à Vancouver, la jeune danseuse éprouve la nostalgie de son Acadie natale et cherche un projet qui l'en rapprocherait. Mais où qu'elle soit, elle continue de vivre sa passion, car son pays est la danse.
Ce film a été produit dans le cadre du concours Tremplin, en collaboration avec Radio-Canada.
Pour le chorégraphe Édouard Lock, le mouvement traduit nos intérêts et nos désirs. Ce court métrage documentaire nous montre le célèbre fondateur de La La La Human Steps travaillant avec des danseurs dans son espace studio. Au moyen d’angles de caméra étonnants et d’images tournées au ralenti, la cinéaste saisit ce style hautement énergique et percutant qui caractérise l’artiste Édouard Lock.
Le 16e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Ce premier film d'Arthur Lipsett observe l'envers de la vie courante et met au jour des anxiétés que nous tentons d'oublier. À une foule d'images en apparence familières se superposent des fragments de discours saisis au passage et une voix qui répète en boucle : "very nice, very nice".
Court métrage expérimental utilisant différentes techniques d'animation (image par image et animation 2D). Des battements endiablés et des rythmes secrets créent le pouls d'une ville et lui insufflent vie.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 5, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette cinquième édition était «La fois où j’ai change d’idée».
Court métrage documentaire sur Margie Gillis. Véritable incarnation de la danse moderne, la danseuse et chorégraphe s’avance dans la lumière, lève les bras et fait tournoyer son extraordinaire crinière autour d’elle. Celle dont la remarquable carrière s’étend sur 4 décennies est un modèle de compassion et de créativité qui excelle à inventer la beauté dans un monde où il en manque toujours. Des caméras ultra-rapides captent la joie subtile et sauvage de l’Isadora Duncan canadienne.
Produit par l’Office national du film du Canada, en collaboration avec le Centre National des Arts et la Fondation des Prix du Gouverneur Général pour les arts et spectacles, à l'occasion de la remise des Prix du Gouverneur Général pour les Arts du spectacle 2011.
Court métrage d’animation réalisé avec des poupées russes. Vêtues du costume traditionnel de la paysanne russe, ces poupées en bois mènent sur l'écran une danse sur des airs de folklore originaux. Captivant et instructif pour les enfants, ce film apportera aux adultes un peu de l'âme russe à travers la virtuosité chorégraphique et les airs villageois qui rythment les séquences. Film sans paroles.
Le 29e film de l’ONF à être nommé aux Oscars®
Un film d'animation cruel et vrai, qui pose un regard critique sur la société de consommation. Le sort fait à un homme qui ne vit que pour manger sera-t-il celui que connaîtra la civilisation d'abondance qu'est la nôtre?
Âge 12 à 16 ans
Domaine des arts - Danse
Médias - Production de films et de vidéos
Comment le réalisateur parvient-il à établir une simplicité du contraste dans cette danse? Décrivez l'ambiance du film et justifiez vos affirmations. Quels procédés techniques créent cette ambiance? De quelle manière les mouvements des danseurs donnent-ils l'impression d'être répétés, voire décomposés? Excellente occasion d'analyser les mécanismes derrière la poésie d'une danse expérimentale.