Grassroots in Dry Lands tells the story of three unconventional social workers united by a common vision that transcends the antagonisms between their countries. Nuha, from Nablus (Occupied Palestinian Territories), Talal, from East Amman (Jordan), and Amit, from Sderot (Israel) are empowering some of the region’s most disenfranchised, war-scarred communities in an effort to build a just and civil society.
Deux visions de la guerre, l'une «officielle» et l'autre «de propagande» et l'espoir que laisse entrevoir la collaboration entre les nations alliées.
Court métrage documentaire explorant les conséquences désastreuses de la Seconde Guerre mondiale sur 60 millions d’enfants. Après des années d’occupation nazie, les enfants, malades et affamés, seront livrés à la dure réalité de la lutte pour la vie, la famine et la tuberculose sévissant en Europe. Le Canada, les États-Unis et certains pays d’Europe moins démunis, apporteront leur secours.
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, qui a fait quelque 37 millions de victimes, le président Woodrow Wilson est déterminé à créer la Société des nations. Il se rend à Paris où convergent les délégués de plus d'une trentaine de pays pour entreprendre les pourparlers de paix les plus ambitieux de l'histoire. Présidée par le Conseil des quatre (les dirigeants des États-Unis, de la France, de la Grande-Bretagne et de l'Italie), la Conférence de Paris aura ironiquement semé le ressentiment et pavé la voie à la Deuxième Guerre mondiale. Dans ce remarquable exploit cinématographique, le réalisateur Paul Cowan amalgame avec brio les reconstitutions et les séquences d'archives pour nous faire vivre l'une des plus importantes rencontres du 20e siècle. Inspiré du succès de librairie de Margaret MacMillan, Paris 1919 relate un événement historique extraordinaire au cours duquel on a éliminé des empires, redessiné les cartes, et rédigé le Traité de Versailles. Un événement qui a généré les bouleversements politiques et sociaux qui assaillent aujourd'ui la planète.
Un regard médusé sur l'intervention militaire des États-Unis en Irak et une interrogation sur le casus belli du chef de la Maison-Blanche. Avec un style bien personnel et teinté d'humour, Bossé nous rend l'image d'une superpuissance de plus en plus arbitraire dans ces décisions.
Nous sommes en janvier 1954. La guerre de Corée est terminée. Les soldats onusiens détenus dans les camps de prisonniers sont maintenant libres de retourner dans leur patrie. Ceux qui refusent d'être rapatriés sont transférés en zone neutre où on leur donne quatre-vingt-dix jours pour reconsidérer leur décision. Parmi eux, vingt et un soldats américains décident de demeurer en Chine.
Aux États-Unis, le maccarthysme est à son apogée. De nombreux Américains croient que ces jeunes hommes ont subi un nouveau type de lavage de cerveau aux mains des communistes chinois. Mais que s'est-il réellement passé?
Alors que la guerre froide n'est plus qu'un souvenir, le cinéaste Shui-Bo Wang, dont le film Sunrise Over Tiananmen Square a été en nomination aux Oscars, a filmé l'aventure extraordinaire de ces Américains. À l'aide d'images inédites des camps chinois et d'interviews avec d'anciens prisonniers de guerre et des membres de leurs familles, Des G.I.'s qui ont choisi la Chine raconte l'histoire fascinante et méconnue de ces dissidents américains qui ont combattu pour leur pays et ont ensuite coupé tous les liens avec lui.
Le mur est un long métrage d’animation écrit par le célèbre scénariste et dramaturge britannique nommé aux Oscars® David Hare (Les heures, Le liseur). Le film de 80 minutes suit Hare lui-même alors qu’il se rend au Moyen-Orient pour y examiner les répercussions profondes du mur qui sépare Israël et la Palestine sur les habitants de cette région.
Sur la corde raide revient sur les raisons du refus canadien d’intervenir en Irak en 2003 aux côtés des États-Unis. Le film met en lumière le bras de fer politique qui s’est alors joué en coulisse avec un voisin du Sud qui a toujours fait preuve d’interventionnisme sur la scène internationale pour servir ses intérêts économiques et géostratégiques. Cette décision historique aurait pu être lourde de conséquences pour le Canada, et plusieurs acteurs de l’époque et analystes montrent le terrible prix à payer lorsque la diplomatie échoue à régler les conflits à travers le monde.
Long métrage documentaire sur la création de la Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations Unies (Casques bleus). Le 29 octobre 1956, le monde est en émoi : les armées israéliennes envahissent le territoire égyptien. Deux jours plus tard, les forces franco-britanniques débarquent à Port-Saïd, et demandent à Israël et à l'Égypte de mettre un terme à toute action belligène. Devant le rejet de l'ultimatum, les combats font rage. Après que l'ONU eut exigé un cessez-le-feu immédiat, le délégué canadien aux Nations Unies Lester B. Pearson réclame la création d'une force internationale pour assurer la cessation des hostilités et maintenir la paix.
Ce long métrage documentaire suit Sorgul et Amir dans leur déchirant voyage de retour en Afghanistan après 16 ans hors du pays. Partis en séjour scolaire dans le Tadjikistan, pays voisin, durant l’occupation soviétique, ils sont abandonnés lorsque l’Afghanistan sombre dans le chaos, qu’une guerre civile éclate. Ensemble les deux jeunes hommes traversent les paysages les plus arides et les plus grandioses qui soient. Lorsque leurs chemins se séparent, l’avenir se présente à eux comme une suite d’aléas menant, l’espèrent-ils, à une forme d’aboutissement.
Deux sœurs grandissent au Vietnam pendant la guerre et vont être séparées par les conséquences du conflit opposant le Nord et le Sud. Après la chute de Saïgon en 1975, Thao, adolescente, doit quitter son pays avec son oncle. Sa grande sœur, Sao Maï, à peine plus âgée, reste avec ses parents, nourrissant l’espoir de la rejoindre bientôt. Mais leur séparation va durer près de vingt ans, au cours desquels les lettres qu’elles échangent sont leur seul lien et un exutoire à leur solitude. Thao et Sao Maï y font le récit de leur quotidien, de leurs souvenirs, de la guerre et de ses fantômes.
Comment réussir l’intégration scolaire des enfants réfugiés au Québec, en tenant compte des violences indicibles qu’ils ont vécues ? En suivant une psychologue spécialisée dans les traumatismes de guerre, Je pleure dans ma tête rend hommage à l’admirable résilience et aux stratégies de survie de ces « petits adultes » que les bombes et les camps n’ont pas totalement brisés, à une époque où il est crucial de sensibiliser les sociétés occidentales aux enjeux liés à la migration et aux droits des enfants.