Le grand Jack

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Docufiction sur Jack Kerouac, un des membres les plus importants du mouvement de la Beat Generation. Sur la route, une de ses œuvres les plus connues a rendu l’écrivain et poète américain célèbre après sa mort en 1969. Ses textes ont grandement contribué à la révolution culturelle, sexuelle et sociale des années 1960. Archives, photos, entrevues et reconstitution d'époque, servent de trame au réalisateur pour décortiquer le mythe du héros.

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Le grand Jack, Herménégilde Chiasson, offert par l'Office national du film du Canada

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Générique
  • réalisateur
    Herménégilde Chiasson
  • narration
    Herménégilde Chiasson
  • producteur
    Éric Michel
  • caméra
    Jean-Pierre Lachapelle
  • son
    Richard Besse
    Yvon Benoît
    Michel Charron
  • montage
    France Pilon
  • montage sonore
    Alain Belhumeur
    Louis Dupire
  • recherche
    France Pilon
    Herménégilde Chiasson
    Hélène Harbec
  • enregistrement sonore
    Louis Hone
  • mixage
    Jean-Pierre Joutel
  • voix
    Guy Nadon
  • musique
    Robert M. Lepage
  • interprète
    Albert Belzile
    Bertholet Charron
    Carl Helmy
    Freddy Helmy
    Clarence Poirier
    Mance Émond

  • Laluner

    Film sensible et sensitif, attentif au côté "populaire" autant que secret du travail de Kerouac et à l'onde de choc provoquée, LE GRAND JACK, un hommage, un dialogue, un travail, une recherche, des fouilles mais aussi une sorte d'appel angoissé, de retour sur soi, indiquant, éclairant et explorant une contellation qui n'est pas prête de s'éteindre, malgré les projecteurs souvent mortels et salissants des medias ordinaires et rémunérés. Une réhabilitation, une célébration le plus souvent nappée d'un blues mineur cool autour du mystère enfantin et infini de ce génie des mots, du coeur mystique et de l'écriture spontanée partagée et de la "poésie filmée" et jazzée, d'un rebelle intégral - y compris à la révolution culturelle et ses normalisations obligées - Le fim montre comment Kerouac fut le génie de la Grande Chose, nouvelle et éternelle, "passager" de la quête qui refusa tout pouvoir, surtout le spirituel sur lequel les sixties ont bâti "un nouvel ordre"; comment il resta mystérieusement et incompréhensiblement en marge, et jugé comme fuyard, voire déserteur, apparemment à bout de souffle. Alors qu'il introduisit l'Asie au monde entier, sans jamais faiblir, acceptant seul de confesser le vide de son Moi, traduisant la Grande Révolution Spirituelle dans le roman, la poésie ect.,et surtout la vie de tous les jours ? Mais qu'il est difficile de l'avouer : cette Amérique qui lui "creva le coeur" fut-elle seulement celle des "squares" ? N'est-on jamais plus trahi que par les "siens", ceux qui, un jour finiront par être désolés de vous abandonner pour une soupe. La majorité n'est pas censée se tromper, par définition elle impose, elle s'impose mécaniquement, bêtement, matériellement... Ainsi la tragédie est-elle seulement celle de Kerouac ou de cette Amérique qui préféra les medias et la "reconnaissance officielle" à la liberté sauvage ? Là est le coeur caché ce blues qui nous tiendra en retour comme un infini regret... Pour cette douloureuse et elliptique mise en évidence, pour l'interstice pressenti de ce doute en nous sans lui, il faut beaucoup remercier Herménégilde Chiasson : qu'avons-nous fait, tour à tour bêlant avec les moutons de panurge et hurlant avec des loups de papier ou de pellicule ? Nous n'en aurons jamais fini de questionner le vide. DARKHAIKER - www.darkhaiker.fr

    Laluner, 30 Avr 2012
  • carlophile

    Document d'une très grande valeur. En situant Kerouac dans son contexte historique, dans l'histoire de ses relations avec sa famille, sa culture d'origine, ses amis, j'ai saisi davantage l'ampleur du personnage et son vertige et sa quête. Je l'ai déjà dit: d'une grande valeur. Et il m'a fait plaisir de réentendre quelques extraits de l'une des grandes entrevues de Fernand Seguin

    carlophile, 31 Mar 2010

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