The Apology follows the personal journeys of three former “comfort women” who were among the 200,000 girls and young women kidnapped and forced into military sexual slavery by the Imperial Japanese Army during World War II. Some 70 years after their imprisonment in so-called “comfort stations', the three “grandmothers”– Grandma Gil in South Korea, Grandma Cao in China, and Grandma Adela in the Philippines – face their twilight years in fading health. After decades of living in silence and shame about their past, they know that time is running out to give a first-hand account of the truth and ensure that this horrific chapter of history is not forgotten. Whether they are seeking a formal apology from the Japanese government or summoning the courage to finally share their secret with loved ones, their resolve moves them forward as they seize this last chance to set future generations on a course for reconciliation, healing, and justice.
Documentaire sur la politique de McKenzie King en ce qui a trait à la conscription pendant la Deuxième guerre mondiale. Dans un premier temps, le premier ministre du Canada tente d'éviter la conscription, craignant de provoquer une guerre civile au pays. En effet, les Canadiens anglais estiment pour la plupart que les jeunes gens doivent être envoyés au front, alors qu'une majorité de Canadiens français s'y oppose farouchement. Les moyens dilatoires ne suffisant plus, King se voit forcé de prendre une décision. Le film juxtapose les plans d'archives et les extraits de la série dramatique The King Chronicle réalisée par Donald Brittain.
Certaines scènes comportent du langage vulgaire.
Les «Hibakusha», ce sont les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki, cette nouvelle classe d'êtres marginaux marqués par l'explosion nucléaire, livrés à toutes les maladies, empoisonnés jusque dans leurs gènes, traqués par l'oeil froid de la science. Quelques-uns acceptent de revivre leur douleur et de témoigner pour avertir l'humanité. Ce film nous mène à leur rencontre au Japon, sur les lieux ravagés par la bombe atomique, puis à New York, lors de la grande manifestation du Mouvement pour la paix, à l'occasion de la 2e Session de l'ONU pour le désarmement.
Ce long métrage documentaire fait le portrait d’hommes homosexuels ayant travaillé au sein de l’armée canadienne durant la Seconde Guerre mondiale. 60 ans après leur service militaire, certains décident de briser enfin le silence. Le film cherche à valider la valeureuse contribution de ces hommes qui se sont battus pour leur pays, tout en nous rappelant que le combat contre l'homophobie au sein de l'armée canadienne n'est peut-être pas encore gagné. En anglais avec sous-titres français.
Version abrégée du documentaire Les Hibakusha, les survivants d'Hiroshima et de Nagasaki. Ils incarnent cette nouvelle classe d'êtres marginaux marqués par l'explosion nucléaire, livrés à toutes les maladies, empoisonnés jusque dans leurs gènes, traqués par l'œil froid de la science. Quelques-uns ont accepté de revivre leur douleur et de témoigner pour avertir l'humanité.
Le charismatique et fonceur Danny Williams est élu premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador en 2003. À son départ, en 2010, il est devenu le politicien canadien le plus populaire – et le plus controversé – de son époque.
Ponctué de moments humoristiques et d’anecdotes d’antichambre révélatrices, Danny raconte comment ce battant transforme un territoire démuni en une province florissante. Reconnu comme un adversaire redoutable, Williams mène contre les premiers ministres et les grandes pétrolières une lutte mémorable afin que les profits tirés des abondantes ressources naturelles de la province reviennent à sa population. Si son mot d’ordre « nous ne faisons plus de cadeaux » lui vaut une popularité sans précédent, la fierté que lui inspire sa province fait de lui un héros aux yeux des électeurs.
Documentaire explorant la tradition pacifiste mennonite, vieille de 400 ans, à travers le déchirement moral d’une population du sud du Manitoba, lorsque le Canada prend part à la Seconde Guerre mondiale. L’auteur mennonite Rudy Wiebe nous livre des témoignages des objecteurs de conscience, des anciens combattants et d’une nouvelle génération de mennonites canadiens.
Ce long métrage documentaire a été tourné en deux parties : L'Héroïque Revendication et Vers l'égalité de présence. Il raconte l’histoire du mouvement féministe, retracée à l'aide de documents cinématographiques de première valeur trouvés à Londres et à New York. Dans ce film, on évoque les principales étapes d'une campagne émouvante, souvent acharnée, menée par la femme elle-même pour conquérir la pleine citoyenneté tant en Angleterre qu'en France, aux États-Unis et au Canada.
Dans cette reconstitution historique ambitieuse réalisée en 1989, les réalisateurs Liu Hao Xue et Tony Ianzelo racontent l’ascension assurée de Qin Shihuang, dont la férocité et l’intelligence stratégique ont contribué à la création de l’Empire de Chine, dont il sera le premier empereur. Le système impérial qu’il a mis en place durera presque deux millénaires.
Ce long métrage documentaire raconte le parcours exceptionnel du philosophe Raymond Klibansky. Témoin privilégié de la mémoire, acteur de son temps, ce philosophe juif allemand traverse un siècle de turbulences, de guerres et de haine. Dans sa jeunesse, il fréquente Karl Jaspers, Erwin Panofsky, Marianne Weber, Ernst Cassirer et Albert Einstein. Très tôt, on le considère comme un savant et son oeuvre intellectuelle est internationalement reconnue. Puis survient l'imposture nazie. Il la dénonce... mieux, il la combat. Au coeur de sa vie, il occupe un poste important au sein des Services secrets britanniques durant la Seconde Guerre mondiale. Depuis, il se consacre à promouvoir la tolérance et sera de toutes les luttes pour la liberté.
Nous sommes en janvier 1954. La guerre de Corée est terminée. Les soldats onusiens détenus dans les camps de prisonniers sont maintenant libres de retourner dans leur patrie. Ceux qui refusent d'être rapatriés sont transférés en zone neutre où on leur donne quatre-vingt-dix jours pour reconsidérer leur décision. Parmi eux, vingt et un soldats américains décident de demeurer en Chine.
Aux États-Unis, le maccarthysme est à son apogée. De nombreux Américains croient que ces jeunes hommes ont subi un nouveau type de lavage de cerveau aux mains des communistes chinois. Mais que s'est-il réellement passé?
Alors que la guerre froide n'est plus qu'un souvenir, le cinéaste Shui-Bo Wang, dont le film Sunrise Over Tiananmen Square a été en nomination aux Oscars, a filmé l'aventure extraordinaire de ces Américains. À l'aide d'images inédites des camps chinois et d'interviews avec d'anciens prisonniers de guerre et des membres de leurs familles, Des G.I.'s qui ont choisi la Chine raconte l'histoire fascinante et méconnue de ces dissidents américains qui ont combattu pour leur pays et ont ensuite coupé tous les liens avec lui.
Ce long métrage documentaire propose la mémoire en remède à l'oubli. Car le temps presse. Une génération de jeunes Chiliens a grandi dans l'ignorance des faits entourant le coup d'État du 11 septembre 1973. Ce jour-là, le gouvernement socialiste démocratiquement élu de Salvador Allende est renversé par le général Pinochet. Ce jour-là, Juan devait se marier. Il a failli mourir en combattant les troupes du dictateur. En sa compagnie, Patricio Guzman retourne pour la première fois au Chili, 23 ans plus tard. Dans ses bagages, il apporte La bataille du Chili. À l'époque, le film avait fait le tour du monde, mais il reste interdit au Chili. Discrètement, le cinéaste le montre aux siens, le fait découvrir aux jeunes. Après la projection, une petite assemblée d'étudiants est en état de choc. Leur soif de vérité est inextinguible. Ils se sentent investis d'un devoir historique. Ce sont eux qui feront le Chili de demain.
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