Court métrage documentaire de la série Au pays de Neufve France. Ce film met en image un poème de Pierre Perrault, inspiré des écrits poétiques de Jacques Cartier qui découvre la beauté du fleuve et ses trésors côtiers. De l’île aux Coudres jusqu’à Blanc Sablon, le récit traverse les saisons et raconte l’histoire des nombreuses îles du fleuve Saint-Laurent, que l’on surnomme Toutes Îles.
Court métrage documentaire réalisé par René Bonnière et écrit et produit par Pierre Perrault. Le film suit Henri et Rosaire Otis, de l'Anse-aux-Basques, deux chasseurs de loups marins et de marsouins, amoureux des grands espaces. Le savent-ils, les frères Otis, qu’ils sont les derniers descendants des chasseurs basques du 16e siècle?
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Un village de terre ferme pour l'hiver, la chasse, le bois de chauffage et le bon voisinage, n'hésite pas à devenir un village des îles pour passer l'été à proximité du large où il y a la pêche. Mais parfois, la mort change le destin des maisons et tous les hommes et toutes les barques entreprennent de remorquer une maison des îles jusqu'aux rivages de terre ferme où finir ses jours à l'ombre d'un clocher.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Ce court métrage documentaire, réalisé par René Bonnière et Pierre Perrault, retrace l’histoire oubliée des 150 goélettes qui, dans les années 1950, assuraient la navigation sur le fleuve Saint-Laurent.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Ce court métrage documentaire, réalisé par René Bonnière et Pierre Perrault, revient sur la traverse d’hiver à l’Île-aux-Coudres. Pour atteindre la terre du nord parmi les glaces à la dérive, les courants et les marées, les gens de l'Île-aux-Coudres ont élaboré toutes sortes de stratégies et construit les étonnants canots d'hiver qui se propulsent sur les glaces à la rame, à l'aviron et à toutes jambes. Entrevue avec Alexis Tremblay.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Documentaire poétique et ethnographique sur la vie des habitants de l'Isle-aux-Coudres rendue d'abord par une langue, verte et dure, toujours éloquente, puis par la légendaire pêche au marsouin, travail en mer gouverné par la lune et les marées. Un véritable chef-d'oeuvre du cinéma direct. Pierre Perrault, Michel Brault et Marcel Carrière ont fait ce film.
Réalisé par Pierre Petel en 1949, ce court métrage documentaire nous fait voyager le long de la côte du Saint-Laurent, du détroit de Belle-Isle à l’embouchure du Saguenay, en passant par Blanc-Sablon, Havre-Saint-Pierre, Forestville, Clarke-City, Baie-Comeau et Baie-Trinité. Entre l'industrie forestières et celle de la pêche, on constate que la vie est dure sur la Côte-Nord. Après ces images d'une rude existence, Tadoussac et ses touristes ont l'air de se la couler douce…
C'est une très ancienne tradition qui remonte peut-être aux pêcheurs de baleines basques qu'observe, bon an mal an, ce petit village entre les îles qui s'emploient à tendre d'immenses filets pour prendre le phoque du Groenland en migration vers le golfe des mises bas.
Ce film fait partie de la série documentaire intitulée Au pays de Neufve-France.
Court métrage documentaire sur la pêche aux marsouins à l'Île-aux-Coudres. Avec un art suprême, les habitants fichent des harts dans la terre boueuse et tendent un piège en forme de cœur. Puis le long des perches, le marsouin s'engouffre, cherche à s'échapper, mais finit par s'échouer au fond de l’embarcation. C'est à ce beau plaisir de la capture du marsouin que nous convie ce documentaire tourné dans la plus pure tradition du cinéma vérité.
Le film montre les images que les habitants de l'Anse-à-Valleau construisent dans leur ordinaire. En parlant de quelques-uns d'entre eux, il parle aussi un peu de tous ceux qui vivent en tête-à-tête avec la nature et y trouvent sourire et sérénité.
Ce court métrage documentaire est un portrait du Québec des années 1940, réalisé par Laura Boulton, pionnière de l’ONF. Le film s'ouvre sur une scène de la péninsule de Gaspé, là où Jacques Cartier planta la croix fleur de lysée et prit possession du pays qui allait devenir le Canada. En 1944, les Québécois tirent leurs revenus de l'agriculture, de la pêche à la morue et des chantiers navals. La foi, la religion et la paroisse font partie des croyances fondamentales.
Troisième long métrage de Pierre Perrault à l'Île-aux-Coudres, Les Voitures d'eau aborde le problème des constructeurs et navigateurs de goélettes de bois, à l'heure des bateaux de fer, de la concurrence internationale et des monopoles. Hommes de la mer, aussi habiles en actes qu'en paroles, les capitaines des dernières goélettes du fleuve vivent la fin d'une ère artisanale dans laquelle leurs fils ne pourront plus trouver place. La première partie du film théorise les connaissances et les richesses humaines et verbales liées à cette science des bateaux de bois. La seconde partie, bilan d'une tragique saison de navigation sur le St. Lawrence, pose les questions majeures de l'intégration économique et politique des Canadiens français.
Âge 16 à 17 ans
Français, langue maternelle - Littérature et poésie du Quebec
Géographie - Territoire: régional
Ce film met en image un poème de Pierre Perrault, inspiré des écrits poétiques de Jacques Cartier, qui découvre la beauté du fleuve et ses trésors côtiers. Toutes Isles peut être présenté au cours d’une activité reliant poésie, nature et histoire. Demander aux élèves d’analyser le texte narré, et de relever les formules poétiques qui décrivent les habitants de la côte, l’animal, l’oiseau, le fleuve et le pays.