In this follow-up to his 2003 film, Totem: the Return of the G'psgolox Pole, filmmaker Gil Cardinal documents the events of the final journey of the G'psgolox Pole as it returns home to Kitamaat and the Haisla people, from where it went missing in 1929.
Ce court métrage documentaire relate les événements entourant le retour définitif du totem G'psgolox chez lui, à Kitamaat. Dans Le totem d'origine de G'psgolox, tourné pour l'ONF en 2003, le cinéaste Gil Cardinal documentait le long combat de la nation Haisla de la Colombie-Britannique pour récupérer un totem mortuaire retrouvé dans un musée à Stockholm, en Suède. Malgré d'intenses efforts, les Haisla n'avaient pas réussi à rapatrier leur totem. Or, en 2007, le musée suédois décide de rendre le précieux objet à ses propriétaires légitimes.
En 1929, un totem mortuaire appartenant au peuple Haisla, le G'psgolox, est coupé et emmené en Europe. Il est retrouvé en 1991 dans un musée de Suède. Ce long métrage documentaire relate les efforts des Haisla du village de Kitamaat pour récupérer le précieux objet.
Version originale anglaise avec sous-titres français.
À l’âge de 22 ans, le sculpteur d’origine haïda Robert Davidson a grandement contribué à changer l’histoire des gens de sa communauté. Grâce au soutien de sa famille, il a pu sculpter le tout premier totem du village de Old Masset en près d’un siècle. Avec des animations spectaculaires, des entrevues touchantes et des images d’archives, Maintenant plus que jamais dépeint le portrait de trois générations des clans de l’Aigle et du Corbeau qui ont travaillé ensemble à ériger le totem à la manière de leurs ancêtres jusqu’à ce qu’il trône, fort et fier.
Le cinéaste inuk Jobie Weetaluktuk combine séquences d’archives et nouvelles images pour mettre en lumière différentes formes d’appropriation de sa culture au cours de l’histoire.
Vistas est une série de 13 courts métrages sur le thème de la Nation produits par l'Office national du film du Canada, en collaboration avec la chaîne APTN.
Kwa'nu'te est un chant de paix qui invoque chez certains autochtones le pouvoir de la création, une façon de faire revivre les esprits et de leur rendre hommage en tentant d'apporter, grâce à eux, un peu d'apaisement dans un monde de plus en plus tourmenté. Les huit artistes micmacs et malécites du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse dépeints dans ce film partagent tous à divers degrés cette conscience spirituelle.
Depuis sa création en 1976, le Toronto Council Fire Native Cultural Centre est un endroit où la communauté autochtone urbaine peut se sentir en sécurité, apprendre et grandir. Le centre offre des enseignements culturels et crée un espace, en particulier pour les jeunes, où se réapproprier son identité autochtone. Au cœur de son histoire et de ses enseignements : le tambour, appelé «notre mère?». Dans Revenir au point de départ, on apprend à connaître les membres du Toronto Council Fire Youth Program alors qu’ils entreprennent de nouvelles aventures. On fait la rencontre d’un groupe de joueurs de tambour qui enregistrent des pièces dans un studio professionnel et d’une troupe de jeunes danseurs qui font une démonstration dans un studio de danse.
Urbains.Autochtones.Fiers est une série de films issus d’un partenariat entre l’Ontario Federation of Indigenous Friendship Centres et l’Office national du film du Canada.
Dans ce long métrage documentaire, la cinéaste Reaghan Tarbell part à la découverte de ses racines en retraçant l'histoire de la communauté mohawk de Brooklyn (New York). Du début du XXe siècle aux années 1960, les Mohawks de Kahnawake, au Québec, ont participé sans interruption à la construction des gratte-ciels de la métropole américaine. Plusieurs s’y sont établis, créant une sous-culture autochtone citadine au cœur de Brooklyn. La cinéaste leur rend hommage.
Des dizaines d’années avant la tenue de la Commission de vérité et réconciliation, Shirley Bear défiait les récits colonialistes répressifs avec ses inspirantes représentations imagées de la féminité autochtone. Catherine Martin trace le portrait de cette artiste malécite connue sous le nom de Minqon Minqon (Arc-en-ciel Arc-en-ciel).
Pendant les préparatifs de leur pow-wow annuel, les hommes de Shoal Lake 40 racontent l’histoire de la vie dans la communauté selon leur perspective. Lorne Redsky s’emploie à faire fonctionner la station de pompage désuète : l’argent manque pour réparer les systèmes de base et il faut se servir quotidiennement de l’eau embouteillée. Alors que Lorne concentre son énergie sur la tâche monumentale qui consiste à acheminer de l’eau propre jusqu’au lieu du pow-wow, un membre de la communauté du nom de Kavin Redsky prépare sa tenue cérémonielle en vue de la danse, une démarche très personnelle liée à son parcours de guérison. Les deux hommes incarnent ces inestimables richesses que sont la communauté, la culture traditionnelle et la médecine, des cadeaux grâce auxquels la population de Shoal Lake 40 a pu trouver la résilience nécessaire pour continuer le combat pour la « route de la liberté ».
La série documentaire en cinq épisodes La route de la liberté relate la passionnante histoire du combat livré par une Première Nation pour mettre fin à l’impitoyable héritage colonial qui a provoqué le déracinement d’une communauté autonome et l’a transformée en une île isolée, pourtant toute proche de la Transcanadienne.
Ce court métrage documentaire nous amène au coeur d'un véritable pow-wow traditionnel. En suivant le parcours de Tony Chachai, jeune Autochtone en quête d’identité, la cinéaste originaire de Manawan se penche sur la culture, le passé et la transmission du savoir et des connaissances au sein des membres d’une communauté atikamekw. Mu par le désir de renouer avec sa famille et ses racines, Tony Chachai livre un témoignage touchant sur le chemin qui l’a ramené auprès des siens. À l’aube de devenir père, il prend conscience de la richesse de cet héritage et célèbre ce passé en dansant dans un pow-wow aux côtés de son cousin Ronny Chachai.
Ce film a été réalisé par Thérèse Ottawa, cinéaste à l'occasion du concours Tremplin NIKANIK, destiné aux cinéastes francophones des Premières Nations du Québec.
Long métrage documentaire sur la station de radio CBQM, qui émet dans tout le delta du Mackenzie. À Fort McPherson, à 148 kilomètres au nord du Cercle Arctique, le soleil ne se montre pas pendant des semaines entières l’hiver, laissant 766 âmes dans l’obscurité et le froid. Les animateurs de la radio locale s’occupent de réchauffer le cœur de la communauté avec leur musique, leurs messages et leur fidèle compagnie.
Âge 11 à 15 ans
Sciences humaines - Histoire sociale
Études autochtones - Histoire/Politique
Études autochtones - Identité/Société