This captivating short documentary profiles the young Canadian long-distance runner Bruce Kidd at 19 years old. Kidd eventually went on to win a gold and bronze medal at the 1962 Commonwealth Games, and was a competing member of the 1964 Canadian Olympic team. Directed by Don Owen (Nobody Waved Good-bye, Toronto Jazz), the film is luminously photographed by John Spotton and features poetic commentary composed and spoken by the great Anglo-American poet W.H. Auden. The camera follows Kidd’s sprightly movements as he runs on piers, practice tracks, and finally, in an international race. Oblivious to the clapping crowds and the flash of cameras, he knows full well that in the long run it is the cold stopwatch that tells the truth.
Court métrage documentaire sur le coureur canadien Bruce Kidd, plusieurs fois vainqueur aux Jeux de l'Empire de 1962, en Australie. Véritable phénomène de la course à pied, Kidd est devenu en quelques années une figure dominante du monde du sport. De magnifiques images tournées en 35 mm, en noir et blanc, nous le montrent à l'entraînement et en pleine compétition.
Ce documentaire réalisé en 1965 brosse un portrait décontracté du poète, romancier et auteur-compositeur Leonard Cohen. On le voit tantôt lisant sa poésie devant un public qui boit ses paroles, tantôt seul ou en compagnie de sa famille et de ses amis.
Ce long métrage de fiction suit les aventures du jeune Ernie, de retour en ville après un séjour en clinique psychiatrique, sans défense et encore mal préparé à affronter la vie. Tour à tour recueilli par Donna et Gail, il multiplie les écarts de conduite et finit par être perdant à son propre jeu. Tourné à Montréal, ce classique de Don Owen, imprégné par une poésie psychédélique, explore le monde de la jeunesse des grandes villes à la recherche constante de stimulants et de modes de vie nouveaux. Au générique figurent quelques-uns des meilleurs comédiens de la nouvelle école d'art dramatique de Montréal. En anglais, avec sous-titres français.
Harold McComber, comme d’autres Mohawks de Kahnawake depuis des générations, est spécialiste en montage de l'acier et travaille à des hauteurs vertigineuses sur les grands chantiers. Ce court métrage documentaire nous emmène avec lui, en équilibre sur les poutres d’un gratte-ciel à New York. À travers l’activité du chantier de construction, on voit aussi des images de ses souvenirs et de ses désirs, c’est-à-dire la quiétude de la réserve de Kahnawake près de Montréal.
Long métrage de fiction sur l’adolescence au Canada durant les années 1960, la vie en marge de la société, l’apprentissage des responsabilités et l’affirmation de soi. Existe-t-il d’autres valeurs que l’argent, le confort, la sécurité et la respectabilité? C’est ce que se demande Peter, 18 ans, qui quitte son domicile familial de Toronto pour apprendre à vivre sans le soutien de ses parents. Amoureux de Julie, il doit faire un choix pénible et lutter contre les règles établies.
Ce court métrage documentaire est une œuvre fantaisiste sur le volley-ball, tourné en octobre 1965, lors du match livré à Montréal entre les équipes olympiques américaine et soviétique. Il est un des premiers films réalisés par le célèbre cinéaste canadien Denys Arcand.
On voit à l'oeuvre l'escadron de démonstrations aériennes des Forces armées canadiennes : les «Snowbirds».
Selon French Fred, autre réalisateur de ce projet, Machotaildrop, le premier long métrage de Corey Adams, est le seul des nombreux films de skate qui ait apporté un regard critique sur le sujet ... depuis The Devil's Toy, de Claude Jutra.
Inspiré par des sons trouvés de bébés, ce court métrage d'animation jette un regard sur le comportement étrange des gens s’entrainant dans une salle de sport.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 11, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Chute splendide porte sur les difficultés et les joies associées au désir de performer excessivement. Le film évoque un cirque dont les artistes font indéniablement sentir leur présence même s’ils ne sont pas vraiment visibles.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 9, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Court métrage documentaire de Gilles Carle sur de jeunes athlètes canadiens inscrits aux Jeux olympiques de 1964 à Tokyo, qui consacrent chaque minute de loisir à l'entraînement en piscine.