Filmmaker and bestselling author Vivek Shraya’s ode to a popular Edmonton gay bar that closed in 2007. With pulsating neon-light animation, Reviving the Roost is a story about community complexity and longing, and an elegy to a lost space.
Ode de la cinéaste et auteure à succès Vivek Shraya à un bar gai très fréquenté d’Edmonton qui a fermé ses portes en 2007. Avec son animation rythmée par le clignotement des néons, Retour au Roost est une élégie dédiée à un lieu perdu qui raconte une histoire sur la complexité et sur la nostalgie d’une communauté.
Dans les communautés de la Colombie-Britannique, des gardiennes et gardiens du savoir s’appuient sur les archives pour façonner une histoire plus inclusive à l’échelle locale. Grâce à un collage composé d’entrevues personnelles, de plans d’archives et de souvenirs profondément enracinés, le passé, le présent et l’avenir se fondent pour faire émerger un espace où tout le monde est visible et où tout le monde a sa place. Car l’histoire devient ce que, ensemble, nous en faisons.
Le film expérimental Statut matrimonial examine les répercussions affectives liées au fait de se trouver parmi les premiers couples à se prévaloir aussi bien du mariage gai que du divorce gai. Quinze ans après la légalisation du mariage entre conjoints de même sexe, la cinéaste Michèle Pearson Clarke et ses amis en évaluent la dimension à la fois personnelle et politique.
Documentaire sur l'immigration massive de Chinois venus de Hong Kong à Vancouver. Le film dévoile leur mode de vie et leur rôle capital dans l'économie canadienne et mondiale. Au-delà de l'économie, la diaspora chinoise est soudée par la puissance des liens du sang.
Alors que le monde réapprend à vivre en pleine pandémie, pour nombre de personnes LGBTQ+ arabophones à Montréal, c’est juste une période comme les autres. Lorsqu’on a échappé à la violence homophobe dans son pays d’origine et vécu un douloureux projet migratoire, ou qu’on fait encore face à des préjugés sociaux liés à des conflits interculturels et intergénérationnels, survivre à l’isolement social n’a rien d’inhabituel.
MISE EN GARDE : Ce film contient des scènes d’homophobie et de violence qui pourraient perturber certaines personnes.
Une personne comme moi suit les parcours parallèles de Drake, un demandeur d’asile gai originaire de l’Ouganda, et de membres de la communauté queer vancouvéroise qui ne se connaissent pas, mais s’unissent pour soutenir sa réinstallation au Canada. Ensemble, l’espace d’une année, les protagonistes entreprennent une quête de liberté personnelle qui nous amène à constater que, dans un monde où il faut constamment lutter pour le droit d’exister, la survie devient en soi une victoire.
Part figurative, part abstract, Drux Flux is an animated short comprised of fast-flowing images showing modern people crushed by industry. Inspired by One-Dimensional Man, by philosopher Herbert Marcuse, the filmmaker deconstructs industrial scenes and their terrifying geometry to show the inhumanity of progress.
Ce long métrage documentaire suit le parcours de cinq demandeurs d’asile au Canada qui ont fui leur pays d’origine pour échapper à la violence homophobe. Se heurtant aux difficultés de l’intégration et craignant d’être déportés, ils attendent dans l’angoisse la décision qui bouleversera leur vie. Mais tous veulent croire à la générosité de leur terre d’accueil.
Lorsqu’un berceau ancien fait son entrée dans la demeure qu’elle partage avec sa conjointe des dernières années, Victoria Mata, la cinéaste Tiffany Hsiung se trouve happée par un tourbillon d’émotions. Le berceau relate la tendre et touchante histoire de son combat personnel au croisement de l’orientation sexuelle et de l’identité culturelle, combat auquel s’ajoute le fardeau intergénérationnel d’avoir un bébé dans le cadre social rigide du mariage et de la famille.
Après avoir travaillé à l’étranger pendant cinq ans, le cinéaste Ajahnis Charley rentre chez lui à Oshawa, en Ontario, en période d’isolement. Il revient pour retrouver sa famille et s’est donné pour mission de lui faire certaines révélations très personnelles. La situation donne lieu à d’étonnantes conversations avec sa mère et ses trois sœurs d’où émerge un récit teinté d’humour, mais non moins déchirant sur ce besoin que nous avons de chercher l’amour et l’acceptation auprès de notre famille.
Ce long métrage de fiction s'attaque à un sujet que les mentalités collectives s'acharnent à considérer comme tabou : le viol de la femme, de l'individuel (le cas de Suzanne) au rituel (la clitoridectomie), en passant par celui de masse (les Vietnamiennes). Le film va cependant plus loin en forçant le spectateur à se poser les questions fondamentales. Pourquoi le viol existe-t-il? Est-ce le sort naturel des femmes d'être violées? Qu'est-ce que le viol abîme chez la femme? Et où se situe la justice des hommes?