Court métrage d’animation qui démontre la beauté du cinéma dans sa plus simple expression. Norman McLaren et Evelyn Lambart font pour ainsi dire la synthèse de la musique et du langage cinématographique.
Court métrage d’animation présentant des jeux de couleurs, de formes et de sons. En guise de musique, Norman McLaren a dessiné des sons synthétiques et il les a photographiés sur la bande sonore en conservant un parallélisme absolu entre le son et l'image. Synchromie est un film de « son animé » dans le vrai sens du terme.
Animation de génie signée Norman McLaren et Evelyn Lambart. Le trio Oscar Peterson interprète quelques pièces de son répertoire, alors que les cinéastes transcrivent ces sons avec, comme seuls guides, leur talent et leur libre imagination. Titres inscrits en plusieurs langues, sans commentaire. Animation sans paroles.
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Court métrage d’animation de Norman McLaren et de René Jodoin. Dans une sorte de jeu de mouvement, ils font virevolter des sphères blanches dans un ciel coloré en mouvance. Ces sphères s’alignent, se groupent et se multiplient, entrant parfois en collision l’une contre l’autre. Au piano, Glenn Gould exécute des extraits du « Clavecin bien tempéré » de Bach et donne au film son rythme et l'allure qui le caractérise.
Court métrage d'animation fantaisiste sur le triangle équilatéral. Un ballet de formes géométriques, dont le déroulement est réglé en fonction du caprice de l'auteur, mais dans les limites de l'analyse géométrique. Les cadences à trois temps d'une valse sentimentale viennent alléger la rigueur de cette danse triangulaire. Film sans paroles.
C'est la féerique bataille de couleurs et de formes que se livrent des flocons de neige. Tombant avec grâce, ils se heurtent rapidement les uns aux autres, provoquant par là un enchevêtrement tel qu'ils en perdent leur identité propre au profit d'une forme nouvelle tout aussi belle que la première, teintée d'une riche couleur, fruit d'un adroit mélange. Neige, une fantaisie agréable, un spectacle pour l'oeil. Film sans paroles.
Norman McLaren et Evelyn Lambart font pour ainsi dire la synthèse de la musique et du langage cinématographique dans les films Lignes horizontales et Lignes vert icales.
Ce court métrage d’animation expérimental réalisé en 1961 par le cinéaste René Jodoin explore la figure géométrique du carré à l’aide de la couleur, de la musique et du mouvement. Ronde carrée est une œuvre charnière qui témoigne de l’expérimentation, de la recherche et de l’avant-gardisme du cinéma d’animation canadien des années 1960.
Ce court métrage d’animation est le tout premier réalisé par le grand cinéaste Norman McLaren. Film publicitaire pour le ministère des Postes du Canada, cette œuvre est composée de symboles figuratifs dessinés sur pellicule claire et superposés optiquement sur un fond photographique.
C'est la ronde folle de l'arithmétique. Les chiffres se conduisent ici comme des clowns, se fuient, se bousculent, s'évitent, à un rythme endiablé. Mais, comme des policiers, les signes « plus », « moins » ou « égal » veillent au bon ordre et à la justesse des opérations d'arithmétique.
Court métrage expérimental explorant les possibilités de l'animation par intermittence et des images spasmodiques. Norman McLaren joue avec les lois de la persistance rétinienne dans une œuvre de pure imagination faisant penser tantôt à un feu d'artifice très nourri, puis ensuite à un dessin lent à se former et dont on ne perçoit que des touches rapides et éphémères. Film sans paroles.
Lignes verticales et Lignes horizontales ont servi de point de départ à ce film qui renferme des trouvailles de géométrie abstraite et de cinéma futuriste. En soumettant le spectateur à un interrogatoire intérieur rigoureux, ces ingénieuses méthodes le reposent des procédés usuels.