A classic NFB documentary about the Golden Gloves boxing tournament, the Canadian amateur's hope for success in the boxing world. This Gilles Groulx film shows three Montreal boxers in training. In behind-the-scenes interviews they talk about their ambitions and what prompted them to take up the sport.
Documentaire sur le tournoi annuel de la boxe amateur au Québec, lequel sanctionne la valeur des jeunes recrues. Les vainqueurs sont admissibles à participer aux Jeux de l'Empire et peut-être même aux Jeux olympiques. Des images saisissantes font découvrir une partie du profil psychologique de ces jeunes amateurs de boxe.
Documentaire sur des hommes qui pratiquent des combats extrêmes pour canaliser la rage qui les habite. L'un d'eux, le chanteur Dan Bigras, s'est fait cinéaste pour nous parler de ses chums. Pour eux, le ring agit comme la métaphore d'un combat intérieur.
Court métrage réalisé à partir d’un poème de Michèle Lalonde, créé en 1970 à l’occasion de de la première Nuit de la poésie à Montréal. Le texte se déroule sur un montage de photos chocs appuyées d'une trame sonore suggestive, dans un film dénonçant l'impérialisme économique et culturel des classes dominantes.
Ce documentaire propose une incursion dans le monde de la lutte professionnelle à Montréal. Les combats, simulés et spectaculaires, se déroulent au Forum de Montréal, mais aussi à l'arrière-scène, lieux où se pratique cet art guerrier. Les caméras attentives aux moindres détails captent les bons et les méchants lutteurs qui s'empoignent, se frappent, rugissent et grimacent, rivalisant d'ingéniosité pour le plus grand plaisir des spectateurs.
Documentaire sur le boxeur Gaétan Hart. Hart se bat pour gagner son steak, parce qu'il est ce qu'il fait et parce qu'enfiler les gants et donner tout ce qu'il a en avalant les coups lui confèrent de la dignité...
Ce court métrage documentaire est une œuvre fantaisiste sur le volley-ball, tourné en octobre 1965, lors du match livré à Montréal entre les équipes olympiques américaine et soviétique. Il est un des premiers films réalisés par le célèbre cinéaste canadien Denys Arcand.
Ce court métrage documentaire recrée le marathon des Jeux olympiques de 1976 en faisant partager aux spectateurs les sentiments et les émotions de Cierpinski, le grand vainqueur de la course.
Ce film invite le spectateur à vivre les aventures et mésaventures de soixante-dix jeunes filles canadiennes qui traversent le Canada à bicyclette, de Montréal à Vancouver, dans le but de se rendre au Japon pour visiter l'Exposition universelle d'Osaka.
Long métrage documentaire sur la préparation des Jeux olympiques de Montréal en 1976. Ce film met en parallèle la construction monumentale des pavillons et la préparation des athlètes québécois qui rêvent de participer aux Jeux, mais qui se rendent à l'évidence qu'ils n'ont pas le soutien nécessaire pour enter en compétition avec les pays dominants. On y voit également le jeune René Simard interpréter la chanson officielle des Jeux de Montréal.
Jack Rabbit Johannsen est l'un des grands promoteurs du ski de fond en Amérique du Nord. C'est aussi un homme remarquable dont la vie fut remplie d'aventures de toutes sortes. En voici le portrait fascinant.
Court métrage d’animation de Jamie Mason sur Anansi, une araignée qui se fait snober par les autres animaux de la jungle, parce qu’elle ne réussit pas à capturer d’insectes dans sa toile. Elle fait donc un pacte avec M. Tiger, le plus puissant de toutes les espèces, qui lui promet du respect si elle parvient à lui rapporter M. Snake, la créature la plus grognonne au monde. Après plusieurs ruses, Anansi réussit le pari, mais elle réalise alors qu’elle fait une erreur de jugement.
La magie d’Anansi fait partie des Petits conteurs, une série de courts métrages d'animation pour les enfants de cinq à neuf ans.
Âge 14 à 17 ans
Français, langue maternelle - Littérature et poésie du Quebec
Histoire et éducation à la citoyenneté - Modernisation de la société québécoise (1929-1980)
Santé/Formation personnelle - Condition physique et activités physiques
Avant le visionnement, lancez une discussion sur la subjectivité au cinéma. Peut-on filmer objectivement? Ensuite, demandez aux étudiants de décrire certains moments où la caméra leur a semblé indiscrète, ironique, lucide, touchante ou audacieuse. Semble-t-elle parfois trahir la réalité? Le visionnement de ce film est l’occasion idéale pour introduire certaines caractéristiques du cinéma direct : comment le cinéaste s’y prend-il pour coller au réel? Quelle technique filmique emploie-t-il?