La vie est belle, mais elle tient à un fil qui pourrait facilement se rompre si nous ne nous préoccupons pas davantage de nous-mêmes et de notre planète. Même si nous en sommes conscients, nous ne réagissons pas assez aux signaux d’alarme qui nous sont lancés. Les innombrables catastrophes dont nous inondent les actualités ont fini par nous transformer en spectateurs insensibles et passifs du théâtre de la réalité. Marielle Guyot a réalisé ce premier film à l’ordinateur avec beaucoup de savoir-faire et de sensibilité artistique. Elle y évoque la vie et la mort de la mer. Et l’espoir d’une renaissance.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
A Single Tear est une « épopée » dont les héros sont un curieux personnage en forme de diamant, un poisson-chien et une botte. Amy Lockhart nous entraîne dans une aventure étonnante avec ce film audacieux et quelque peu déroutant. À l’aide d’éléments découpés, de dessins et de collages qu’elle a numérisés, puis animés à l’ordinateur en utilisant la technique multiplan, elle a créé un monde de fantaisie et de magie pour ce conte de fées écologique.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Alors que l’orage menace, un homme seul, réfugié dans un bar, contemple les cubes de glace qui fondent dans son verre. Le réalisateur de Ice Ages, Howie Shia, marie un style graphique original ainsi qu’une animation subtile et énigmatique à une trame sonore lancinante et évocatrice pour faire naître un climat d’angoisse, d’appréhension. Les dessins à l’encre sur papier-calque sont animés à l’aide de la composition d’images et du coloriage numérique.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Eaude nous fait vivre une incursion exaltante dans le monde poétique de l’imaginaire et de ses paysages aux reflets aquatiques. Le travail d’animation réalisé par Thea Pratt est influencé par les œuvres de Norman McLaren, de Leni Riefenstahl et de Busby Berkeley. Dans ce film, les figures libres du plongeon exécuté par une marionnette symbolisent l’inspiration, tandis que des photos numérisées de lumières dansantes, d’océans écumants, de rivières tumultueuses et de lacs calmes représentent la vie mouvante et insaisissable de la conscience.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette deuxième édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Avec ce premier film, Megann Reid rend compte de l’expérience de la solitude dans la chaleur d’un bain. Immersion a été dessiné au crayon aquarelle sur des cellulos givrés. L’animation a été faite avec une caméra numérique et les mouvements, générés à l’ordinateur avec le logiciel After Effects. Les dessins ont été superposés avec, sur le dessus, une feuille d’acétate transparente sur laquelle on a fait couler un « bain miellé ».
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Le film Bones & Boats raconte une histoire de l’époque victorienne où l’orgueil et la démesure mènent à la tragédie humaine. Où l’ambition grandiose des hommes se heurte à la force indomptable et parfois destructrice de la nature. Le réalisateur Kevin Langdale a emprunté certains éléments du cinéma épique et les a transposés dans cette animation qu’il a signée d’un style graphique très personnel.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 2, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Dans ce traité minimaliste combinant avec élégance marionnettes, objets et dessins, une petite créature observe la transformation d’une plume et suit une baleine jusqu’aux icebergs fondants. Là-bas, les oiseaux n’ont plus de places où se poser. Les matériaux utilisés incluent de vieux gants, des bijoux et de la pâte à modeler.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 3, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette troisième édition était « Air & chez-soi».
Dans ce court métrage d'animation, la disparition des glaces de l’Arctique pousse un ours polaire à tenter sa chance et à chercher du travail à la ville. Mais s’intégrer au monde des humains n’est pas chose facile et l’ours en arrive à trouver une solution plus originale à son problème.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 8, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Une solution aqueuse semble triste et morne, mais dans son opacité réside une déclaration d’autodétermination et le besoin fondamental d’ombre et de lumière. Il s’agit du premier film professionnel de Jo Meuris.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Dans cette satire acérée des médias, du gouvernement et des magnats qui profitent du système, des poissons couverts de pétrole se heurtent à des planches à roulettes et à la guerre contre la terreur.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 10, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal.
Ce film est une critique mordante de la commercialisation et de la marchandisation de l’eau dans une société dont les buts ultimes font totalement fi de l’avenir, proche ou lointain.
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».
Conjuguant marionnettes filmées image par image et animation de dessins, Don't Blink nous montre une jeune femme un brin mélancolique sur un quai de Halifax, dont la solitude est troublée par le passage d’un improbable chalutier. Une métaphore sur la propriété connective des étendues d’eau, sur la capacité de cet élément de se révéler comme une voie ouverte vers la liberté. <
Ce film a été produit dans le cadre du Hothouse 1, stage de formation offert aux cinéastes de la relève par le Studio d’animation de Montréal. Le thème central de cette première édition était « L’eau et notre rapport à celle-ci ».