L’ONF s’engage à respecter votre vie privée

Nous utilisons des témoins de navigation afin d’assurer le bon fonctionnement du site, ainsi qu’à des fins publicitaires.

Si vous ne souhaitez pas que vos informations soient utilisées de cette manière, vous pouvez modifier les paramètres de votre navigateur avant de poursuivre votre visite.

En savoir plus
PASSER Accessibilité
Ma liste
Votre requête n'a pas été complétée
Ce film est déjà dans votre liste
Nouveauté
Dès le 
None

Christmas at Moose Factory (sous-titré en français)

1971 13 min
Dernière chance

C'est avec ce court documentaire poétique, paru en 1971, que l'éminente réalisatrice abénaquise Alanis Obomsawin a débuté son parcours derrière la caméra. Filmé dans un pensionnat du nord de l'Ontario, il se compose entièrement de dessins faits par de jeunes cris et d'histoires qu'ils racontent. L'écoute a toujours été au cœur de la démarche de la réalisatrice. « Le film documentaire, a-t-elle expliqué dans une entrevue en 2017, est le seul espace dont nos peuples disposent pour parler de leur réalité. J'ai le sentiment que les documentaires sur lesquels j'ai travaillé ont eu cette utilité d'aider les gens, nos gens …

Nous sommes désolés, ce contenu n’est pas offert dans votre région.
Votre location se termine le
None
Vous avez déjà acheté ce film.
Téléchargez-le à partir de Mes achats.
Non offert
Partager
Christmas at Moose Factory (sous-titré en français)

Détails

C'est avec ce court documentaire poétique, paru en 1971, que l'éminente réalisatrice abénaquise Alanis Obomsawin a débuté son parcours derrière la caméra. Filmé dans un pensionnat du nord de l'Ontario, il se compose entièrement de dessins faits par de jeunes cris et d'histoires qu'ils racontent. L'écoute a toujours été au cœur de la démarche de la réalisatrice. « Le film documentaire, a-t-elle expliqué dans une entrevue en 2017, est le seul espace dont nos peuples disposent pour parler de leur réalité. J'ai le sentiment que les documentaires sur lesquels j'ai travaillé ont eu cette utilité d'aider les gens, nos gens à poser un regard sur nous... et par la suite à apporter des changements réellement significatifs pour l'avenir de nos enfants. »

  • réalisateur
    Alanis Obomsawin
  • scénario
    Alanis Obomsawin
  • producteur
    Wolf Koenig
  • producteur exécutif
    Robert Verrall
  • photographie
    Ben Low
  • dessins
    Jennifer Alisappi
    Ralph Cewitt
    Barbara Cheechoo
    Marlene Cheechoo
    Steven Cheechoo
    Vern Cheechoo
    Patricia Cousatadi
    Brian Davey
    Leonard Echum
    Sinclair Esiu
    Angus Georgekish
    Elvis Georgekish
    E. Margaret Johnstone
    Daisy Jolly
    Lesley Jolly
    Sarah Jolly
    Dorothy Lahache
    Eva Lahache
    Jody Lahache
    Wilma Lahache
    Christine Lazarus
    Paul Linklater
    Peter Linklater
    Priscilla Linklater
    Rita Linklater
    Sandra Linklater
    Gordon Mills
    Freddy Moore
    Brian Morrison
    Paul Moses
    Bradley Nickoshie
    Joan Rickard
    Ricky Rickard
    Douglas Small
    Juliet Small
    James Sutherland
    Joanne Tobin
    Sandra Tomatuk
    Sheila Tomatuk
    Ida Trapper
    Lillian Trapper
    Vincent Percy
    Greta Visitor
    Winnie Wapachee
    Barbara Wesley
    Brenda Wesley
    Dolores Wesley
    Eva Wesley
    Linda Wesley
    James Wesley
    Johnny Wesley
    Shirley Wesley
    George Isbister
  • caméra d'animation
    Raymond Dumas
  • son
    Jacques Drouin
  • montage sonore
    Bill Graziadei
  • mixage son
    Roger Lamoureux
  • musique
    Sinclair Cheechoo
    Jane Cheechoo
    Arthur Cheechoo

Vivez l'expérience ONF sur l'appareil de votre choix

Éducation

Âge 12 à 18 ans
Sujets scolaires

Ce court métrage documentaire réalisé par Alanis Obomsawin peut servir à inspirer des méthodes d’enregistrement de récits à la première personne. Pourquoi est-il important d’inclure les voix et les points de vue originaux des peuples autochtones dans les récits du Canada? Pourquoi est-il important d’inclure les expériences vécues à la première personne dans l’étude de l’évolution de notre société? Faites une recherche sur les cérémonies du solstice d’hiver qui étaient pratiquées par divers groupes des Premières Nations avant que la tradition de Noël soit enseignée aux Autochtones. En quoi les cérémonies du solstice d’hiver diffèrent-elles des célébrations de Noël ou en quoi leur ressemblent-elles? Les enfants des pensionnats auraient-ils été autorisés à représenter dans leurs dessins leurs cérémonies traditionnelles, qui auraient été pratiquées à la même période de l’année que les célébrations de Noël? Qu’aurait-il pu arriver à un enfant des pensionnats qui aurait refusé de célébrer Noël, mais qui aurait plutôt suivi les cérémonies culturelles traditionnelles qui honorent la nature pendant le solstice d’hiver?