In Brampton, Ontario, eldest sibling Ollie Coombs documents the lives of their brother Nicolas (15) and sister Natalie (11), while they wait for the provincial government to announce it’s “back to school” policies for the upcoming year. This film offers a fresh glimpse into the day-to-day experience of one family living in the suburbs of greater Toronto, as Ollie interviews their siblings about school and the impact of the pandemic.
Part of THE CURVE, a collection of social distancing stories that bring us together. Enjoy more works from this series here .
À Brampton, en Ontario, l'aîné Ollie Coombs enregistre les faits et gestes de son petit frère Nicolas (15 ans) et de sa petite sœur Natalie (11 ans), alors qu’ils attendent l’annonce des politiques provinciales de «retour en classe» pour l’année scolaire à venir. Le film, dans lequel Ollie les interviewe au sujet de l’école et des conséquences de la pandémie, donne un aperçu du quotidien d’une des nombreuses familles qui peuplent les banlieues du Grand Toronto.
Ce film fait partie de la collection La courbe : des histoires de distanciation sociale qui nous rapprochent. Cliquez ici pour en voir plus.
Ce court métrage documentaire raconte l'histoire touchante d'une élève et de son maître. Daniel Mergler a entendu la bagatelle de Beethoven des centaines de fois. Mais, aujourd'hui, c'est différent. Étonné, le vieil homme écoute et son regard s'illumine. La jeune pianiste de neuf ans est Xin Ben, fille d'immigrants chinois. Le destin les a fait se rencontrer dans un parc de Montréal et a placé la jeune fille sous l'aile de ce professeur en fin de carrière. Elle sera sa dernière et sa plus remarquable élève.
Documentaire filmé dans une école multiethnique de Montréal, où une vingtaine de jeunes de deux blocs rivaux se livrent à un affrontement inoubliable et salutaire.
Comment réussir l’intégration scolaire des enfants réfugiés au Québec, en tenant compte des violences indicibles qu’ils ont vécues ? En suivant une psychologue spécialisée dans les traumatismes de guerre, Je pleure dans ma tête rend hommage à l’admirable résilience et aux stratégies de survie de ces « petits adultes » que les bombes et les camps n’ont pas totalement brisés, à une époque où il est crucial de sensibiliser les sociétés occidentales aux enjeux liés à la migration et aux droits des enfants.
Documentaire sur des élèves d'une école secondaire francophone en Ontario. Bon nombre d'entre eux, issus de la francophonie, en sont à leurs premiers balbutiements dans la langue de Shakespeare. En s'attachant aux pas de quelques-uns d'entre eux, la réalisatrice montre la diversité et l'ampleur des défis que ces jeunes venus d'ailleurs ont à relever chaque jour.
Reportage d'époque sur les cours de langue réunissant chaque été à Trois-Pistoles de jeunes étudiants francophones et anglophones de diverses régions du pays afin de favoriser une meilleure compréhension mutuelle entre Canadiens.
Long métrage documentaire posant le problème de l'éducation de l'enfant dans notre société de compétition. Tout en aidant l'enfant à développer ses talents, qu'il s'agisse de hockey, de gymnastique ou de piano, parents et entraîneurs ne cherchent-ils pas, plus ou moins consciemment, à leur faire vivre par procuration leur propre besoin de compétition et leurs propres rêves? Là-dessus, les enfants voudraient peut-être nous parler...
Fiction fantaisiste sur la chanson « Conception » de Robert Charlebois. L'histoire raconte les déboires d'un jeune homme trop passionné par autre chose que sa « blonde » qui le quittera, évidemment... Il partira à sa poursuite, évidemment...
Pour avoir plus d’informations sur ce film, visitez le Blogue de l'ONF.
Découlant directement des Vrais perdants, film-choc d’André Melançon sur l’enfance et l’éducation ayant marqué le cinéma québécois des années 1970, ce long métrage documentaire part à la rencontre des mêmes personnages, 30 ans plus tard. Que sont devenus aujourd’hui les enfants filmés en 1978? Articulé autour de l’idée de la passion, ce film social, coréalisé avec Danny Croussette, met en valeur leurs parcours, leurs façons de se dépasser ainsi que l’évolution de la société québécoise et des mentalités.
Portrait intime de Marie Leo, une Sto:lo adoptée tout bébé par des Líl̓’wats. Quand elle raconte doucement la tendre enfance paisible qu’elle a vécue, on constate que ses liens profonds à la culture, à la terre et à la famille persistent. Ce court métrage fait parte de la série L’il’wata. Au début des années 1970, au tout début de sa carrière de documentariste, Alanis Obomsawin a visité la nation líl̓’wat, une Première Nation salish de l’intérieur de la Colombie-Britannique, et a créé une série de courts métrages où des Autochtones parlent de la culture, des histoires et du savoir-faire des Lil’wats.
À un moment charnière de sa vie, celui de la naissance de son premier bébé, Sybèle revient vivre à Pikogan, la réserve où elle a passé son enfance. Elle veut faire connaître à son fils les traditions algonquines, mais craint que ce milieu où règne la consommation d?alcool et de drogues ne soit nocif pour elle-même et pour son enfant. Pour lui offrir une vie meilleure, devra-t-elle s?éloigner à nouveau? Une réflexion lucide sur la situation des jeunes mères algonquines.
Depuis 2004, Wapikoni mobile donne aux jeunes Autochtones l?occasion de s?exprimer au moyen de réalisations vidéo et musicales. Ce documentaire a été réalisé grâce à ces studios ambulants et fait partie du Dvd - Sélection 2007 - Wapikoni mobile.