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Les artistes Steve Verreault et Sébastien Dave Tremblay accompagnent le photographe naturaliste et biologiste Hugues Deglaire lors d’une promenade d’observation en forêt. Riche en méditations sur les bienfaits de se retrouver dans la nature, ce court métrage contemplatif et haut en couleur prête minutieusement l’oreille aux murmures de la forêt. Tourné en deux jours dans les environs de Matane, À l’affût convoque les sens pour évoquer la symbiose entre homme et nature.
Pour sa quatrième édition, le Projet 5 courts de l’ONF braque les projecteurs sur le talent d’artistes indépendants du Bas-Saint-Laurent ! de toutes les éditions
.">Visionnez les quatre courts métrages documentaires réalisés en partenariat avec le centre de production Paralœil de Rimouski.
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L’influence de la météo sur notre quotidien et l’immense rôle qu’elle joue dans nos conversations, jour après jour, sont indéniables. Les créateurs Guillaume Lévesque et Antoine Létourneau-Berger ont eu l’idée géniale de tisser leur film à partir de bribes de discours sur les conditions climatiques recueillies dans diverses villes du Bas-Saint-Laurent. Axé sur la parole humaine et sa poésie, Il va faire beau demain démontre à quel point cette incontrôlable météo imprègne notre imaginaire collectif et universel.
Pour sa quatrième édition, le Projet 5 courts de l’ONF braque les projecteurs sur le talent d’artistes indépendants du Bas-Saint-Laurent ! de toutes les éditions
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Mariage inusité entre l’art et la science, le film expérimental Manège nocturne s’intéresse à l’activité cérébrale à travers les différents cycles d’une nuit de sommeil. Par le biais d’une boîte vocale, l’artiste en arts médiatiques Cynthia Naggar et le concepteur sonore Gueze ont recueilli les rêves de citoyens et de citoyennes. Ceux-ci sont ingénieusement combinés avec des représentations graphiques et sonores générées par des algorithmes issus de données médicales anonymes.
Pour sa quatrième édition, le Projet 5 courts de l’ONF braque les projecteurs sur le talent d’artistes indépendants du Bas-Saint-Laurent ! de toutes les éditions
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Ce documentaire ludique de Nicolas Paquet et Tom Jacques met en scène la danse monumentale de l’aspirateur à tourbe, une gigantesque machine industrielle imaginée à Rivière-du-Loup. Sur une trame sonore dramatique créée à partir d’instruments inventés, des travailleurs s’affairent à former de grandes buttes, qui acquièrent une splendeur esthétique sous l’œil des deux créateurs. Un clin d’œil au film de l’ONF De la tourbe et du restant, tourné dans les tourbières du Bas-Saint-Laurent durant les années 1970.
Pour sa quatrième édition, le Projet 5 courts de l’ONF braque les projecteurs sur le talent d’artistes indépendants du Bas-Saint-Laurent ! de toutes les éditions
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Plus d’une décennie après la crise financière mondiale de 2007-2008, qu’en est-il de la mondialisation ? Le cinéaste-philosophe Jean-Daniel Lafond nous ouvre les portes du Forum économique international des Amériques, un gigantesque rassemblement annuel où économistes, financiers et politiciens s’expriment sur les grands enjeux de l’heure. Grâce aux témoignages privilégiés d’une vingtaine d’hommes et de femmes d’influence, La fin des certitudes se présente comme une méditation, à plusieurs voix, sur l’état du monde. Un documentaire d’observation qui tisse un bilan lucide de la mondialisation — avec les idéaux, les désillusions, les craintes et les espoirs qu’elle suscite — et plaide pour la naissance d’un nouvel humanisme, plus inclusif et équitable.
Avec Borealis, son nouveau long métrage documentaire, le célèbre réalisateur Kevin McMahon (L’eau, c’est la vie) pénètre dans les profondeurs de la forêt boréale pour y découvrir l’expression chorale de la vie dans les légendaires étendues sauvages du Canada. Comment les arbres arrivent-ils à évoluer, à communiquer, à survivre malgré les forces destructrices du feu, des insectes et de l’intrusion humaine? Borealis offre un portrait immersif des cycles de vie de la forêt, présenté selon la perspective des plantes et des animaux qui y vivent.
Comment la population de la forêt pluviale de Great Bear, au Canada, compose-t-elle avec l’arrivée de l’industrie gazière? Et quel poids les baleines ont-elles dans ce débat, alors que le seul bruit des navires-citernes peut suffire à les éloigner? La baleine et le corbeau relate l’histoire d’humains et de non-humains unis par un rapport profond à l’océan, mais séparés par des perspectives divergentes quant à son avenir.
Ce film évoque le lien particulier qui unit la Première Nation de la rivière Poplar aux terres et aux eaux qui l’entourent. Sophia Rabliauskas et Clint Bittern, membres de cette communauté, font valoir l’importance de protéger la terre et l’eau de leur territoire pour les générations futures, et la responsabilité intergénérationnelle à cet égard.
Composée de quatre courts métrages documentaires, La série Lac Winnipeg met en images les récits sur la débrouillardise et la capacité d’adaptation de quatre communautés autochtones vivant aux abords du lac Winnipeg, à un moment où de nombreuses forces extérieures leur imposent un changement.
L’ampleur de toutes choses, le nouveau documentaire de Jennifer Abbott, amalgame les souvenirs de la perte de sa sœur aux récits des manifestations du changement climatique observées en première ligne, esquissant ainsi des parallèles intimes entre les deuils vécus à l’échelle personnelle aussi bien que planétaire.
Mauvaises herbes nous entraîne dans un monde surprenant peuplé de plantes carnivores qui changent d’aspect comme un caméléon passe d’une couleur à l’autre. Le réalisateur fait rimer croissance avec concurrence, évolution avec compétition, et met en place un étonnant duel aux allures de western, de guerre froide et de jeu de société.
En Abitibi, à des centaines de kilomètres de la ville, des milliers de travailleurs montent au Nord, comme Jos Montferrand ou François Paradis. Ces bûcherons du XXIe siècle s’initient à la forêt boréale québécoise en exerçant le métier de débroussailleur.
Loin de leur famille, ils vivent cinq à six mois par an dans des camps de travail à l’image d’un Québec nouveau. S’y côtoient Québécois d’origine canadienne-française et Néo-Québécois issus d’Afrique, d’Europe de l’Est ou d’Asie, tous venus gagner leur vie dans le bois. C’est dans cette microsociété du Nord que la cinéaste Stéphanie Lanthier nous invite à pénétrer durant une saison entière.
Pratiquant le cinéma direct à la manière de Pierre Perrault, elle documente la vie des débroussailleurs, ces « exilés » de tous âges et de toutes nationalités qui partagent avec elle leur nostalgie, leur fierté ou leur fascination pour la forêt qui les entoure. Celle qui, de juin à octobre, se montrera tantôt menaçante, tantôt bénéfique pour ceux qui y habitent et tentent l’aventure.
Ce long métrage documentaire est une évocation historique qui emprunte les pas du frère Marie-Victorin, fondateur du Jardin botanique de Montréal (1931). Fascinant univers visuel et sonore, ce film nous initie aux rudiments des sciences naturelles, de la recherche botanique et des grandes explorations floristiques. En compagnie de ce professeur universitaire et religieux anticonformiste, nous apprenons à herboriser sur une longue route menant à travers les îles et les terres de cet immense jardin vert d'Amérique qu'est le Québec.