Lorsque le cinéaste Lorne Olson était tout jeune, on lui a dit que les Autochtones ressemblaient aux pommes : rouges à l’extérieur, blancs à l’intérieur. Curieusement, ces propos sont à l’origine de la longue quête identitaire qu’il a entreprise. Toute sa vie, il s’était qualifié de Métis, de « sang-mêlé », d’Oji-Cree, d’Indien, d’Autochtone, et ainsi de suite. Or, jamais ces désignations, reflets des tendances et de l’air du temps, ne l’avaient satisfait. En cinq minutes fantaisistes et intenses, Pommes et Indiens nous présente Lorne traversant des décennies à la recherche de sa véritable identité.
Lorsque le cinéaste Lorne Olson était tout jeune, on lui a dit que les Autochtones ressemblaient aux pommes : rouges à l’extérieur, blancs à l’intérieur. Curieusement, ces propos sont à l’origine de la longue quête identitaire qu’il a entreprise. Toute sa vie, il s’était qualifié de Métis, de « sang-mêlé », d’Oji-Cree, d’Indien, d’Autochtone, et ainsi de suite. Or, jamais ces désignations, reflets des tendances et de l’air du temps, ne l’avaient satisfait. En cinq minutes fantaisistes et intenses, Pommes et Indiens nous présente Lorne traversant des décennies à la recherche de sa véritable identité.
Premières histoires - Pommes et indiens, Lorne Olson, offert par l' Office national du film du Canada